La démocratie est le règne du peuple, la déférence considérée pour la masse des citoyens-individus conscients de ce fait ou non. Aussi c’est leur âme consentante s’exprimant par cheminement bien élaboré du vote libre au sein d’un Etat de droit, reconnu en tant que tel. Et ce, au niveau d’un environnement particulièrement défini, à savoir leur pays-nation, ainsi évoluant vers le progrès escompté qui doit âtre mis en œuvre pour améliorer, dans la constance, leur existence de citoyen. De ce fait, créer l’espoir menant vers le travail de la réussite structurée de cette cause pour le meilleur des souhaits par leur choix. Autrement, la démocratie, selon toute définition du sujet impérativement, est la responsabilité de l’individu-citoyen à travers son gouvernement dans le cadre de l’exercice de l’autorité pour décision. Au profit ce peuple ainsi souverain dans cet engagement au contrat social élucide pour la tâche. Parce que ce pouvoir ultime, exercé au nom du peuple, étant investi en lui par implication à travers le vote libre de l’élection de ces agents représentants, fonctionnant se faisant au nom de ce peuple (individus- citoyens) dans le contexte national, est une réalité qui n’est toujours pas comprise par les soit disant gouvernants de la Guinée contemporaine. A cet égard, la première république, à ses débuts, était pleine de promesses pour le progrès. Ce qui lui a valut, sous des conditions extraordinaires, l’isolement à cause du vote historique du peuple de Guinée pour l’indépendance nationale, reçurent néanmoins une performance administrative plus que notable à l’époque.

A savoir la mise en fonction, louable à l’occasion, d’institutions républicaines et la formation sanitaire des cadres nationaux pour la relève nécessaire entre autres. Pour ensuite s’embourber, sur sa trajectoire, dans la déviation despotique gérée au fond par un égoïsme cruel qui ne nous a pas réussis pour le pays enfin de compte. Ce résultat sans lendemain, après sa suite décréditée, a produit ce que nous avons comme souffrance inhumaine, continuité de la dictature absurde récidive, ravageur de notre patrie sur cette rocambolesque de corruption d’état. Un enfer en mal faisances d’une deuxième république, la Guinée meurtrie lâchement par une callosité perfide inacceptable à jamais ! De ce fait à des degrés différent entre ces deux républiques de notre existence souveraine, d’un cas à l’autre, le malheur aberrant au détriment méprisable, anti-guinéen de surcroît continu à nous infliger horriblement. Et ce, inutilement par cette lacune brutale du savoir apprendre et faire, aux mains d’énergumènes incompétents voués à l’échec. Comment est- ce que la vaillante Guinée du 28 septembre et du 02 octobre 1958, fierté compréhensible des temps immémoriaux, la racine à travers notre histoire intègre, ici eu égard à notre départ en tant que république moderne a pu se bestialité de cette manière plus que misérable ?

Un phénomène sans appel de l’arbitraire non productif dévoilé au pillage du patrimoine national, les faits obligent de porter l’accusation de la haute trahison contre ces pécheurs à outrances, à la justice guinéenne. Ainsi le peuple dans l’éclat du changement de ces régimes a fait confiance en l’espoir à venir, et le voici maintenant malmené à la fois martelé à plat par un ligotage malsain aussi bien que démentiel. L’état d’une réalité affreusement entretenue par l’imposition assujettissante du désespoir qui est son quotidien, hélas !

Conséquemment en démocratie, la ligne entre les politiques et le gouvernement qui l’engendre est difficile à définir si cela n’est conçu dans la transparence des normes à cet effet. Puisque les politiques déterminent le gouvernement dans ses formes et les formules de caractères de ce gouvernement si l’entreprise ici une fois de plus, par ce fait est bien fondée à la prime à bord.

Ce qui n’est même plus le cas en Guinée. Se faisant un gouvernement, à son tour dans un contexte légaliste, affecte profondément chaque individu-citoyen et cela dans tous les pays se proclamant de l’état de droit en général, pour le bien-être de cet individu-citoyen.

Fodisté