Anodine pour certains et cruciale pour d’autres, cette question est plus que jamais un constat avéré qui mérite sans doute une analyse approfondie à l’égard de la junte féminine, vivant de la plus haute sphère sociale.

L’on imagine si c’est un fait naturel ou artificiel, les femmes les plus nanties sont souvent sans compagne, vivant de la plus grande solitude, en quête de mari idéal ou bien convenablement assujetti à leur passion désordonnée; quels sont le mobiles de ces faits, est-ce que un acte délibérément acquis ou par l’excès de la bourgeoisie ? Ce sont autant d’interrogations que l’on tentera d’élucider quelques facettes.

En effet, depuis la nuit des temps, la femme était considérée comme être plus ou moins égale aux hommes, avec l’évolution des mouvements des droits civiques dans les années 1945 en Europe et un peu partout dans le monde occidental, l’on enregistrait de plus en plus la montée des femmes  politiques comme Margarèthe Tchatcher, 1er Ministre britannique d’alors, ce sentiment d’autorité s’accentuait davantage chez certaines femmes, en particulier les plus riches.

Ironie du sort, lorsqu’elles sont en manque de moyens, il est rare, de les voir célibataires, souvent accompagnées de beaucoup d’enfants, obéissantes et jouent pleinement le rôle de la femme au foyer, au service de la famille et du mari. De nos jours tel n’est le cas, elles se mesurent davantage aux hommes, tant sur le plan économique, civil, voir même au niveau de la responsabilité sur la prise des décisions.

Ces bourgeoises de  l’époque contemporaine ont cependant d’autres préoccupations, que de se marier, fondée une famille naturelle, comme la religion l’a permit. Dans une large mesure, du coté de la fécondité, elles préfèrent négocier des hommes, donneurs de sperme afin de se procréer, avoir au moins des descendants. Ces insoumises rendent de plus en plus la société embarrassante, en manque de vertu et de l’insubordination vis-à-vis des mœurs et coutumes ancestrales. Que faut-faire  donc?

Certes, désireuses de se franchir du joug de la junte masculine, les femmes riches ont d’ailleurs mise en place plusieurs stratégies surtout axées de l’indépendance économique, droit au divorce et plusieurs formes de rebellions au sein des ménages. Pour certaines d’entre elles, accusent les violences faites aux femmes par les maris, rejetant catégoriquement leur droit le plus élémentaire. Ces cas sont ordinairement vécu dans le monde arabo-musulman où la femme n’a absolument pas le droit au divorce, de suivre la même éducation que les hommes et autres attitudes similaires.

Un phénomène à la vitesse de croisière, à l’encontre des valeurs religieuses et coutumières, la vie sans couple constitue davantage, une vie sans conseiller, souvent exposée aux dérives de la société, sans partenaire privilégié à qui on se complète.

Dans le cadre, nous sommes allés à la rencontre de quelques unes d’entre elles, afin d’apporter un peu d’éclairage sur la question.

Fantagbè sanoh femme d’affaire « c’est embarrassant de répondre cette problématique axée sur le genre, néanmoins, je voudrais m’expliquer un peu la dessus, cette affaire célibataire n’est pas bonne en soie, mais vu les circonstances, certaines femmes sont dans l’obligation de rompre leur vie de ménage, parce que tout simplement, dans certaines familles la femme est un sujet corvéable à merci et à volonté, dans cette circonstance, elles se voit dans l’obligation d’abandonner leur mari en vue de vivre mieux .» à telle constatée

Anastasie Finda Diawara juriste «  avant tout dans notre code civil, la femme a absolument le droit au divorce, en ce qui concerne les femmes célibataires, surtout les riches, elles ont des visions plus autoritaires et possessives à l’égard des hommes, sur le simple fait, parce qu’elles sont nanties, partant de ce constat, elles ne pourront pas digérer l’ordre dicté par les hommes, c’est ce qui manifeste habituellement dans les couples où l’avoir de la femme est supérieur à l’homme. Aussi l’envi de rayonner chez certaine femme suscite la séparation, parce que l’environnement de vie n’est pas du tout convenable à leur but. Ce sont autant de raisons qui provoquent la séparation des couples et créer un vide d’où la célibataire.»  Explique telle.

En claire, au de-là de ce phénomène, force est de remarquer que les femmes célibataires se font de plus en plus nombreuses grâce à la mutation des sociétés, dans le seul envi de satisfaire son instinct capricieux

Amatou.