Bien avant début du mois d’aout, l’opposition guinéenne rassemblée derrière le parti UFGD, projetait d’effectuer une marche pacifique  le 4 aout dernier sur le long de l’autoroute Fidel Castro. Une marche absolument contestée par la mouvance présidentielle et ses alliés.

En effet, l’opposition regroupée autour de  l’union des Forces démocratique de Guinée l’UFDG, s’indigne davantage sur le non respect du protocole d’accord scellé entre ses deux tendances politiques, sur la question liée à l’éventuelle organisation des élections communales et communautaires.

Il s’agit en outre, beaucoup de tergiversation, de manque de volonté politique de la mouvance et vraisemblablement de  manque de ressources financières, perçues comme le point focal de ce débat.

A analyses de plusieurs observateurs sur place, le retard de ce scrutin est certes dû, à un manque de volonté publique à l’égard de la mouvance ; face à ces confusions d’ordre social et politique, nombre de réactions se multiplient sur les réseaux et sur les médias de la place, dénonçant les bavures de la gestion du gouvernement Youla.

Ainsi, quelle solution possède telle  la mouvance en vue d’aplanir les tensions politiques et sociales, quel est le calendrier approprié pour organiser ce futur scrutin ? Ce sont ces interrogations que la rédaction se pose, en vue de mener à bien ce processus électoral.

Cependant, il convient essentiellement de suggérer à la mouvance, de privilégier les bons rapports axés sur les négociations, d’échanges fructueux  avec l’opposition et d’autres entités non étatiques  (société civile, les institutions républicaines) de mettre en place, des voies et moyens permettant, tels les consultations multipartites dans le but de trouver un calendrier consensuel, aussi restructurer certains démembrements de la CENI afin booster les bons préparatifs communaux.

Soucieux de faire régner un climat de dialogue et de paix, la mouvance et ses partisans devraient naturellement procéder à l’éducation, la sensibilisation et aussi à prôner l’esprit patriotique  au sein du parti y compris l’ensemble de ses partisans, ceux-ci pourraient probablement réduire le tohubohu qui embarrasse le bon fonctionnement social, existant depuis belle lurette.

Ces différentes mesures, seraient relatives, à la tranquillité du pays, créant ainsi, un environnement propice pour le monde des affaires guinéennes et étrangères et de d’investissements ; des actions  seront de bonnes augures pour créer la richesse dans le pays, constate ton !

Pour l’heure, la manifestation du 16 Aout se dessine, en attendant  de voir quelle nature ressemblera de solution proposerais le camp d’en face en vue d’éviter de probable tension politique.

AM