On entend par objets en plastique : c’est la matière à caractère léger et solide permettant d’en faire l’usage commercial et biologique. Partant ce constat, les objets en plastique entre dans la fabrication d’une multitude d’objets ; jouets, sacs de plastiques, emballages alimentaires, appareils électroniques…

Ainsi, cette matière résulte a des impacts sur notre santé et sur celle de l’environnement, comme on l’on observe, notre sphère environnementale semble être menacée par ces produits impérissables qui peuvent durer jusqu’à 2 siècles sur la terre.

Soucieux de la multitude et l’impact de ces produits, les militants de l’environnement, travaillent d’arrache pied, pour mener à bien à une résolution consistant à trouver un dénouement heureux en vue de pallier à ce tare de notre écosystème.

En Afrique, seul le Rwanda a d’abord promulgué une loi abolissant l’utilisation des objets en plastique, afin de réduire l’effet négatif des objets en plastique. Au regard de ce phénomène, les cotes, les champs de cultures, les rivières et autres lieux permettant à la prospérité de la biosphère sont potentiellement menacés par son effet abusé.

En ce qui concerne sur la santé humaine : la fabrication de plastiques nécessite des quantités considérables de pétrole puisqu’ils sont polymères synthétiques fabriqués à partir de ce combustible fossile. Des produits chimiques y sont généralement ajoutés afin de leur conférer certaines qualités.

Les conséquences d’une ingestion à long terme de ces substances sont encore mal connues, mais causent certaines inquiétudes, particulièrement pour trois types de plastique.

Par rapport à l’environnement : indirectement, le plastique peut aussi avoir des effets sur la santé humaine à cause de la pollution qu’il engendre. Une fois enfoui, le plastique met entre 100 et 1000 ans à se dégrader et produit du méthane. Un gaz à effet de serre 20 fois plus puissant que le dioxyde de carbone (CO2).

Cependant, s’il est jeté dans la nature, le plastique risque d’être ingéré par des animaux ou de polluer en  dégradant des sites sensibles, des cours d’eau ou des milieux humides.

Pour l’heure, cette question n’est toujours pas d’actualité en Guinée, lorsqu’on n’est avertit de son potentiel danger pour notre environnement.

AMS