Le constat est patent, le plus souvent il s’avère que les maladies diarrhéiques se manifestent en cette période des grandes pluies en guinée. D’après l’analyse approfondie des professionnels de la santé, ces  infections battent leur plein lorsque l’environnement est souillé, et aussi lorsqu’il s’agit notamment des épidémies.

Certes, il s’agit de ce fait de prévenir les citoyens sur l’étude comportementale et environnementale des collectivités en vue d’éviter les graves conséquences que ces éventuelles maladies provoquent sur la santé des populations. Habituellement, on observe les réactions nocives de plusieurs bactéries neutralisant les globules blancs dans le corps humains et cela découlent des liens positifs sur l’état de santé des masses.

Conscients de ces enjeux, elles procurent des effets considérables sur les habitants de la place, faisant ainsi de nombreuses victimes. En outre, les maladies diarrhéiques proviennent des virus de nature plus ou moins inconnues, rarement détectés, ce qui les place encore de la catégorie d’alerte maximale.

En guinée, nous avons connu avec tristesse l’émergence des épidémies à outrance, tuant des milliers d’individu. Ce fut le cas de choléra, perçue comme étant le spectre de 1994, en plein mois de juillet de la même année, les centres hospitaliers guinéens assistent pitoyablement le décès d’un bon nombre des concitoyens. 19 ans plus tard une autre contagion appelée «Ebola » surgit sur la surface guinéenne, elle perdure 24 mois, accablant la vie de plus de 5000 personnes en Afrique de l’Ouest, 3000 morts en guinée.

La désolation de ces tares, est liée le plus souvent au manque d’hygiène (les marchés publics souillés, les caniveaux inondés des immondices etc.)  Et des contacts mal sains entre les personnes.

Ainsi, il serait judicieux pour les populations y compris les services de santés et autres de chercher des voies et moyens permettant d’éradiquer ces fléaux en vue de freiner ces spectres de contagions dans le pays.

Ams Touré