Les différents marchés d’approvisionnement des populations en denrées de première nécessité et autres condiments pour la sauce quotidienne des ménages, sont envahis par des immondices. En début de la saison des pluies, les marchés situés dans les communes et quartiers de Conakry ne font pas bon vivre à cause de la boue et autres saletés qui les envahissent et surtout qui dégagent une odeur nauséabonde.

Ils ne sont jamais ou presque évacués par la municipalité quasi négligence de ceux qui se réclament à cor et à écris responsables de ces grandes communautés urbaines peuplées  des citoyens qui de droit de mieux vivre et de devoir de contribuer aux villes modernes d’Afrique et d’ailleurs, notre pays la Guinée manque de bureaux d’administration des marchés.

Là où ils existent, ils ne répondent pas à l’exigence grandes lieux de rassemblement des femmes et d’enfants en longueur de journée en quête du gain quotidien.

Pour atteindre un résultat positif dans le domaine de la santé humaine, il faudrait beaucoup d’effort  de la part des collectivités à travers les conseillers municipaux et des quartiers en vue de protéger les usagers des marchés ainsi que des consommateurs contre les maladies liées à l’insalubrité des lieux de négoce.

Face à cette situation d’ordures de nos marchés constatés çà et là, il est temps d’organiser ou de réorganiser les bureaux des administrations de marchés des principales villes du pays qui ne cessent d’accueillir l’exode rural sans frein.

La commit à la gestion de ces marchés doivent maîtriser l’éducation environnementale, la sensibilisation, l’information et la communication sur les règles d’hygiène sociale.

BIS