Aujourd’hui à Conakry, les fous sont d’un nombre incalculable et, nous n’avons pas la maîtrise parfaite des fous qui en longueur de journée marchent à travers les rues de la Capitale sans être inquiétés, cette situation se fasse au vue et au sue des autorités et de la population.
Pour se rendre à l’évidence de cette situation, il suffit de faire un tour dans la presqu’île de Kaloum, le centre –ville de la Capitale, le lieu abritant la plus grande partie de l’Administration guinéenne et de la banlieue de Conakry pour voir en longueur de journée des fous vivants avec la population dans les quartiers et parfois dans les places publiques, et ils sont parfois dans la cours de certains départements ministériels et aussi on les rencontrent en plein circulation abandonnés à eux même et menaçant souvent la quiétude des paisibles populations.
Cette situation doit nous inquiéter à plus d’un titre car, ces fous malgré que ces des êtres vivants comme nous sont actuellement nombreux dans la capitale et aucune précaution n’est prise pour faire face à cette situation inquiétante à plus d’un titre. Il faut toutefois souligner que l’Etat n’a cas prendre des dispositions draconiennes et de s’organiser pour éradiquer ces fous pour protéger les paisibles citoyens des contacts et probablement d’éventuelles maladies.
Face à ces situations déplorables, il est important d’en appeler à la conscience des autorités au niveau de la population afin de prendre des mesures idoines pour définitivement en finir avec ces fous en mettant en place des campagnes de sensibilisation, d’éradication de ces fous dans notre capitale. De nos jours, fort est de reconnaitre que ces fous sont abandonnés à eux même, souvent en plein circulation.
Au niveau de la population, travailler toujours en complicité avec l’Etat pour relever ces défis qui nous interpellent tous. De la capitale à l’intérieur du pays, tout le monde doit s’investir à travers ses moyens de bord pour vue que notre Capitale et l’intérieur du pays soit définitivement débarrassé des fous et surtout de leur mettre dans le cabanon afin de donner à notre pays une image attrayante où les fous n’auront plus leur place.
BIS