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L’insalubrité est devenue un phénomène récurrent dans certaine Commune de la capitale en générale et plus particulièrement dans la Commune de Matoto et dans la Commune de Ratoma dû aux rejets des ordures au bord de la route qui favorise l’empêchement de la circulation, le nom utilisation des poubelles. En effet les partenaires, les services en charge de la chose sont impliqués pour le ramassage des ordures.
Cependant malgré l’effort des autorités, la population ne faisait que jeter les ordures aux différentes zones publiques sous les yeux de nos différents responsables.
Pour démontrer cela on a vu l’Etat s’est impliqué dans la lutte contre l’insalubrité. En sous peu de temps Conakry a pris un visage différent en ressortant sa valeur et un peu son image de la perle d’Afrique de l’Ouest. Les fossés d’évacuation remplis de boue des eaux usées tous ont été complètement nettoyés ; les routes dégagées de toutes sortes de saletés, les trottoirs peint en blanc, les rom-points garnis de gazon, tous ceux-ci ont rendu la ville propre et aérée.
Mais attention, l’on se demande si cela pourra rester continuel. En tout cas, l’Etat aura montré sa capacité et sa volonté de vaincre l’insalubrité dans la ville de Conakry. Seulement le regret est de voir les vielles habitudes recommencées au niveau de certaines Commune, les gens de Bonfi ont repris leurs positions au bord de la route. Surtout avec le tas d’immondice de vielles pièces détachées, des huiles noircies et les tas d’ordures des emballages.
A Bembeto, Cosa et Taouyah au bord de la mer précisément au niveau du pont les ordures attachées dans plusieurs plastiques bleus superposés forment une montagne. Donc, il importe de signaler que l’Etat doit prendre ses dispositions pour mettre fin à cette pratique et débloquer des moyens afin d’assainir la ville et l’environnement. Car, ces saletés sont des sources de maladies aux populations les plus vulnérables.
BIS