Le lancement du ‘’journal des actes posés’’ a eu lieu ce week-end dans la maison commune des journalistes en présence du président de l’AGEPI et des travailleurs du dit organe.
Prenant la parole M. Alsény Fadiga, rédacteur en chef du ‘’journal des actes posés’’ a mis l’occasion à profit pour souligner que ce médias va se démarquer des autres organes et qui va s’intéresser aux actes positifs du gouvernement, des entreprises publiques et privées pour faire comprendre à la population des actes posés sur le terrain. Aux dires de M. Fadiga, les acteurs évoluant dans divers domaines consacrent d’énormes progrès et des actions sur le terrain, mais qui n’ont pas eu de promotion même s’il y a des actions salvatrices et la plupart des médias n’en parlent pas, c’est pourquoi, la création de cet organe ’’ le journal des actes posés’’ avec une seule idée, faire la promotion des actes posés par tout citoyen, même à l’intérieur du pays. Le rédacteur en chef du dit journal a fait savoir qu’il tend la main à tout le monde pour nous venir en aide pour des échanges de service et pour dire qu’aucune action ne sera laissé pour compte tout sera montrer au peuple à travers ce journal.
Pour le président de l’Association Guinéenne Editeurs de la Presse Indépendante (AGEPI), la création de ce journal vient combler un vide ou les jeunes gens s’engagent à créer cet organe. La création de cet organe, c’est un début de maturité et pour un premier temps, il y aura la spécialisation de la presse écrite en consolider votre page de marché. Selon Moussa Iboun Conté, les gens ont tendance à faire enterrer le journal papier. La meilleure école pour faire la carrière, c’est la presse écrite ; les difficultés sont certes conjoncturelles pour le journal papier et parler des difficultés de la presse pour sa pérennité. De sages conseils ont été prodigués par M. Conté en appelant ces jeunes journalistes en faisant appel aux spécialistes et que toutes les tendances se retrouvent dans le journal et faire un travail de qualité et de responsabilité et surtout avec l’appui de l’AGEPI.

BIS