Le secrétariat général à la présidence chargé des services spéciaux de la lutte contre la drogue, le crime organisé et l’office de répression des délits économiques et financiers vient de mettre aux arrêts un réseau de trafic d’armes. M. Soropogui en service aux services spéciaux a mis l’occasion à profit pour rappeler comment le service a mis main sur ce réseau, expliquant la situation M. Soropogui dira que le service a été informé de la situation de ce réseau depuis plus de deux ans de l’existence d’un réseau de trafic, de vente, de commercialisation d’armes.
Aujourd’hui, nous avons 2000 armes vendues aux guinéens et nous sommes désolés qu’un particulier se prête pour commerçant à faire ces genres de choses. Pour la sécurité nationale nous avons fait plus de 2 ans avant de mettre main sur ce réseau très dangereux. Nous a laissé entendre M. Soropogui. Il faut souligner que les gens de façon illicite vendent des armes et font la fabrication de munitions, le port d’armes est autorisé à travers un permis. Ces armes sont très dangereux pour la sécurité nationale avec 5 à 8 coups et parfois détenus par les étrangers.
Le contrôleur général de la Police Sadou Diallo dira que les armes sophistiquées sont au nombre de 2000 qui sont déjà vendues et qui se trouvent en circulation dans notre pays. Ces armes créent l’insécurité et l’appel a été lancé aux journalistes d’aider pour les démantelé.
Le présumé a reconnu les faits qui lui sont reprochés tout en disant qu’il vend à Madina dont ces complices sont entre autres Moussa, Dian, Mamadou et nous revendons sans document et ce là depuis plusieurs mois et on vend à Conakry entre 12. 500.000, 17.500.000, 14.500.000, et nous travaillons en réseau.
Le secrétaire général des Services Spéciaux, Colonel Tiégboro Camara, ces armes saisies sont de fabrication russe extrêmement dangereuses et qui sont des armes de guerre avec des munitions. Nous sommes en danger et dans un Etat de droit ces choses-là ne doivent pas exister et ces armes vendues entre 18 à 22 millions et ce réseau est aux arrêts en flagrant délit des faits. Aux dires du colonel, les 48 heures qui suivent, on interpelle les gens à venir déposés les armes et toutes les nationalités. Le colonel a enfin appelé les services de sécurité à unir les efforts car ces armes font des coups plus graves qu’un PMAK vendues à des chinois, libanais et d’autres nationalités et la mission continue.

BIS