De nos jours en Guinée, précisément à Conakry, l’insalubrité est devenue une préoccupation majeure pour le gouvernement de la 3ème République. La Capitale guinéenne appelée autrefois la perle de l’Afrique de l’Ouest, mais aujourd’hui, l’une des Capitales la plus salle de la sous-région voire même du monde entier.
La question que l’on se pose, comment éradiquer ce fléau ? Pour les spécialistes, c’est de mettre les moins à la disposition des citoyens de la Capitale ou construire une usine de transformation des déchets.
Car, de Kaloum à Lansanayah Barrage en passant par Coléah, Madina, Kenien, Matam, Bonfi, Dabomdy, Gbessia, Yimbaya, Matoto, Sangoyah, Enco5, Hamdalaye, Cossa, Enta, Tombolia et Dapompa, l’atmosphère est toujours la même.
Pour ce citoyen qui a requis l’anonymat, Conakry est une ville qui attire les touristes, à cause de son emplacement au bord de la mer, mais, malgré les richesses qui nous entourent, notre Capitale ressemble toujours à une campagne ou les maisons sont construites anarchiquement.
Donc, pour mettre fin à tout cela, nous devons réfléchir afin de trouver une solution qui pourra nous sortir de ce marasme, que nous traversons nuit et jour. Pour, moi, c’est la seule Capitale où on voit les ordures entassées comme des montagnes au bord de la route.
A qui la faute entre la population et l’Etat ? Chacun à sa part de responsabilité, c’est-à-dire, l’Etat doit mettre les moins pour mettre fin à ce manque de civisme et le rôle des citoyens c’est appliquer la loi selon les règles. Mais, ici en Guinée, tout le monde est maitre de ces mots, personnes ne veut être commandé par le prochain.

BIS