Né 9 janvier 1922 à Faranah, Sékou Touré est issu d’une famille traditionnelle mandingue et musulmane. Expulsé dès le certificat d’aptitude primaire c’est-à-dire CM2 par l’administration coloniale française pour ses idées subversives, le jeune Sékou Touré voit son destin basculé dans la tourmente.
Dans les années 40, il se lança dans le mouvement syndicaliste guinéen au sein du Parti Démocratique de Guinée (PDG) suite à la loi Gaston Deferre en 1956. Ainsi, suite au référendum du 28 septembre 1958, Sékou Touré est devenu le 1er président de la Guinée indépendante le 2 Octobre 1958.
Au cours de sa gestion (1958–1984), le président Ahmed Sékou Touré aura été un dirigeant charismatique, adepte du collectivisme et du panafricanisme pour la cause des mouvements de libérations nationales en Afrique. Critiqué par sa politique d’autocratie et de répression à l’égard les intellectuels et des hommes politiques, le président Touré aura été l’objet de critique des plusieurs organisations des droits de l’homme.
Décédé le 26 Mars 1984 à Cleveland aux Etats-Unis d’Amérique suite d’un arrêt cardiaque, le président Ahmed Sékou Touré aura particulièrement marqué l’histoire contemporaine de la République de Guinée par ses actes, son idéologie mais surtout sa gouvernance drastique.
Toutefois, en ce jour commémoratif de l’an 32 de sa disparition, notre équipe de reporter a tendu le micro sur la question :
Ousmane Bangoura administrateur civil « le président Sékou Touré, a été pour nous les enfants de la révolution, un père spirituel, à partir du moment où, il avait instauré une sorte de civisme et nationalisme dans nos cœur, gage de patriotisme et de l’amour pour la Guinée, c’est pourquoi, moi je ne peux pas l’oublier, que son âme repose en paix » a-t-il expliqué.
Maningbè Kaba enseignante « en tant qu’enseignante, j’ai la nostalgie de l’ère président Sékou Touré, pour sa politique d’insertion éducative et culturelle pour tous les guinéens, c’est une manière d’équilibré la formation de tous les enfants du pays, sauf à un seul niveau, l’introduction des langues nationales au système de l’enseignement, chose où il n’avait pas eu la bonne lecteur sur la question, à part ça, il avait été un excellent dirigeant. » à telle soulignée.
Thierno Bah électricien « je suis désolé de dire cela, pour moi Sékou Touré a été dictateur, un homme qui n’a pas tout permis le multipartisme en guinée et cela s’ajoute son caractère d’exaction à l’égard des intellectuels »
En revanche, pour cette date historique, la famille du défunt président à organiser une lecteur du saint Coran à la
Né en 1924 à Faranah, Sékou Touré est issu d’une famille traditionnelle mandingue et musulmane. Expulsé dès le certificat d’aptitude primaire c’est-à-dire CM2 par l’administration coloniale française pour ses idées subversives, le jeune Sékou Touré voit son destin basculé dans la tourmente.
Dans les années 40, il se lança dans le mouvement syndicaliste guinéen au sein du Parti Démocratique de Guinée (PDG) suite à la loi Gaston Deferre en 1956. Ainsi, suite au référendum du 28 septembre 1958, Sékou Touré est devenu le 1er président de la Guinée indépendante le 2 Octobre 1958.
Au cours de sa gestion (1958–1984), le président Ahmed Sékou Touré aura été un dirigeant charismatique, adepte du collectivisme et du panafricanisme pour la cause des mouvements de libérations nationales en Afrique. Critiqué par sa politique d’autocratie et de répression à l’égard les intellectuels et des hommes politiques, le président Touré aura été l’objet de critique des plusieurs organisations des droits de l’homme.
Décédé le 26 Mars 1984 à Cleveland aux Etats-Unis d’Amérique suite d’un arrêt cardiaque, le président Ahmed Sékou Touré aura particulièrement marqué l’histoire contemporaine de la République de Guinée par ses actes, son idéologie mais surtout sa gouvernance drastique.
Toutefois, en ce jour commémoratif de l’an 32 de sa disparition, notre équipe de reporter a tendu le micro sur la question :
Ousmane Bangoura administrateur civil « le président Sékou Touré, a été pour nous les enfants de la révolution, un père spirituel, à partir du moment où, il avait instauré une sorte de civisme et nationalisme dans nos cœur, gage de patriotisme et de l’amour pour la Guinée, c’est pourquoi, moi je ne peux pas l’oublier, que son âme repose en paix » a-t-il expliqué.
Maningbè Kaba enseignante « en tant qu’enseignante, j’ai la nostalgie de l’ère président Sékou Touré, pour sa politique d’insertion éducative et culturelle pour tous les guinéens, c’est une manière d’équilibré la formation de tous les enfants du pays, sauf à un seul niveau, l’introduction des langues nationales au système de l’enseignement, chose où il n’avait pas eu la bonne lecteur sur la question, à part ça, il avait été un excellent dirigeant. » à telle soulignée.
Thierno Bah électricien « je suis désolé de dire cela, pour moi Sékou Touré a été dictateur, un homme qui n’a pas tout permis le multipartisme en guinée et cela s’ajoute son caractère d’exaction à l’égard des intellectuels »
En revanche, pour cette date historique, la famille du défunt président à organiser une lecteur du saint Coran à la mosquée Faiçal de Conakry à l’honneur du 1er président de la Guinée indépendante.
Paix a son âme! Amin
Amara Touré