Kaloum, le cœur administratif et des affaires de la Capitale guinéenne présente un visage très décevant et peu moderne. Infrastructure insuffisantes et inadaptées, insalubrité, circulation, automobile engorgée, occupation anarchique, concentration des services publics et des entreprises sont des principaux goulots d’étranglement de cette presqu’ile qui abrite le siège du pouvoir guinéen depuis l’indépendance. Que faut-il entreprendre afin de rendre propice cette commune ?
Selon le nombreux observateurs, le Kaloum à besoin d’être reconstruite ou délocalisée certains départements ministériels vers la banlieue.
Ibrahima Sory Bangoura