Il n’est aujourd’hui un secret pour personnes que les routes, rues et les moindres espaces libres de la Capitale sont transformés en terrain de jeu, notamment de football, par les enfants et les jeunes de tout âge des différents quartiers.
Ils s’emparent de ces espaces. En ce qui concerne les rues surtout, dès que la circulation baisse d’intensité, les tournois se poursuivent et ne prennent fin qu’à la tombée de la nuit.
Conséquence, ce sont les rues barrées, la circulation bloquée, des embouteillages, des accidents provoqués, des injures à l’endroit des automobilistes, cyclistes et piétons on ne finira jamais d’évoquer ce manque criard de terrain à Conakry qui constitue de nos jours un véritable problème pour les citoyens.
Par exemple dans le centre ville de la Capitale guinéen, à Kaloum où le boulevard Diallo Telly est découpé en une dizaine de petits terrain de football, à Dixinn Foula aussi et sans oublier Dixinn Terrasse.
Moussa Bayo étudiant, un pratiquant du football, nous explique : « J e considère que dans toute chose il ya du péché, mais ce qui reste claire c’est que l’Etat et la Fédération Guinéenne de Football(FEGUIFOOT) est faible, n’ont qu’à beaucoup revoir ce secteur, car seuls les guinéens pratiquent se sport roi dans la rue.
Sinon, tout le monde sait que le football est pratiqué sur un terrain libre ou le pratiquant même se sent en l’aise. Mon message va à l’endroit de tout le monde, pas seulement au gouvernement, de nous aider à construire les infrastructures ce sportives pour bien cadrer nos futures champions du monde et surtout nos ballon d’or.
BIS