Dès le début de l’audience à (10 heures) du matin. La plupart des organes de presse ont été empêchés de couvrir le procès de ce jeudi. Une interdiction survenue, suite à la huée du public sur la comparution de M. Bantama Sow à la barre, par certains partisans de l’UFGD, ce mercredi 10 aout.

Quelques heures plus tard c’est-à-dire à midi, le procureur de la république de Dixinn, ordonna aux forces de l’ordre, de laisser rentrer les journalistes sur place. 5 confrères ont pu avoir l’accès dans un laps de temps, aussitôt, deux gendarmes  ont délibérément  interrompus l’accès  aux médias.

C’est dans cet imbroglio, que les heurts ont dégénéré entre les forces de l’ordre et les journalistes, un journaliste d’Espace TV, violement arrêté et  passé au tabas par quelques gendarmes au sein du tribunal.  Des esprits se réchauffent, beaucoup de journalistes sont repoussés, leurs interdisant catégoriquement de couvrir l’audience du jour.

Ainsi, les confrères réclament la libération immédiate et sans condition de l’un de leurs. C’est dans ce climat, de colère et d’indignation, que la quasi-totalité de la presse, a été rejeté, mal traitée et injurieux par les forces de l’ordre présentent au tribunal de 1ère instance de Dixinn.

Pour l’heure, le procès  de ce jeudi 11 aout se poursuit sans presque la couverture médiatique  et une profonde indignation de l’ensemble des journalistes y présentent.

AT, depuis le tribunal de 1ère instance de dixinn, pour nrguinée.net