De nos jours, s’il ya un problème qui dérange de plus les citoyens de Conakry, c’est le manque d’entretien des routes qui existent pendant des années, maintenant et la grande absence presque des routes bitumées. Ces réalités présentes négativement dans des différentes productions de la population qui y résident.

Aujourd’hui, a Conakry, l’état des quelques routes et pistes rurales qui y existent. Dans l’ensemble, le constat qui se dégage est très alarmant.

Si pendant la saison sèche, la population se plaint de la poussière, qui est actuellement leur grand mal, pendant la saison pluvieuse, ils se disent confronter à la boue et aux fossés qui deviennent maitresse des lieux. En saison pluvieuse, les routes sont dès fois difficilement praticable, pour ne pas dire impraticables. Réalités qui créent ainsi des énormes difficultés dans les mouvements des populations et leurs biens.

Ce  secteur des infrastructures qui souffre d’insuffisance et de disparités énormes affecte de nos jours sensiblement le développement économique et social de la localité. C’est-à-dire que l’enclavement, les difficultés d’accès à l’eau, le manque du terrain de football, l’emplacement de nos jours et surtout l’occupation anarchique de nos routes sont les problèmes qui assaillent la ville de Conakry.

De Kaloum à Lansanayah-Barrage en passant par Madina-Corniche, Matam-Corniche, Dabondy, Matoto et Enta, l’atmosphère est la même.

  1. Abdourahamane Touré, fonctionnaire de son état : Moi je condamne fermement l’état, parce que, quand tu donne, il faut suivre de prêt, mais chez nous en Guinée, c’est le contraire. Imaginez combien de milliard de nos Frans qu’on donne pour bitumée nos routes. Donc, je lance un appel à l’endroit de ceux qui s’occupent de l’entretient des routes, c’est-à-dire, le Font d’Entretient Routier (FER) de bien revoir leurs méthode de travail, sinon notre économie sera toujours en baisse.

BIS