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Education : La scolarisation, un mot simple, mais important.

La scolarisation reste de nos jours une voie sure de la sortie du tunnel dans lequel nous- nous étouffons.
L’analphabétisme, ce gouffre, une fois vaincu, l’on pourrait s’enorgueillir dans les domaines scientifique et technologique, base incontournable du progrès et du développement.
L’enfant qui est appelé à assurer la relève de demain ne doit en aucun cas être en marge de ce rendez-vous universel. C’est pour cette raison l’UNESCO, des bailleurs de fonds internationaux, les gouvernants et les ONG conjuguent les verbes et fourni beaucoup d’effort pour la scolarisation des enfants.
Mais, malgré quelques précarités, l’on touche du doigt à cette réalité qui, espérons-le, sera d’avantage renforcée et soutenue. La construction des écoles, la mise en place d’équipements didactiques, la formation continue des enseignants, l’harmonisation et révision des programmes serviront- elles à quelque chose de bien ou de congrès si l’éducation de l’enfant à la maison laisse à désirer.
Mais, si les parents accordent peu d’intérêt à la vie scolaire de ces enfants ? Si l’élève est rançonné à longueur de journée à l’école ? Si l’élève- fille se trouve harcelée par l’enseignant ? Si les règlements intérieurs de l’école ne sont plus qu’un simple ornement ? Autant d’interrogations qui semblent, du moins, étouffent des efforts consentis ça et là.
Résultats : L’enfant se transperce le chemin de la possibilité, il est désorienter, il est débauché endiablé, ses yeux sont recouverts d’extase. Et l’école, il la considère encombrant, trop rigoureuse, exigüe, d’où la naissance de l’école buissonnière avec ses réalités coiffées de évanouissement lors des examens.
Le temps incertain, l’âge ne recule pas, l’enfant cède la place à l’adolescence. Les ambitions de l’adolescent mal cultivé sont en déjà des possibilités de ses parents. C’est ainsi qu’on assiste aux esclandres ignobles si elles ne sont pas macabres. Donc, si les dispositions impérative ne pointe pas à temps, ont finira d’avoir un pays sans les bons cadres.
M. Condé Amadou, enseignant de son état : La scolarisation est un simple mot, mais très important dans la vie, parce que, être président, ministre, chef de cabinet, directeur, fonctionnaire international ou secrétaire général, il faut que tu sois scolarisé. Je demande à l’État d’investir pour la scolarisation des enfants, car c’est des futures chefs aussi.

BIS

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