Ce problème ne devrait pas logiquement se poser en Guinée, un pays repartie être le château de l’Afrique de l’Ouest. Et pourtant, l’accès à l’eau potable est une gageure dans ce pays, notamment dans sa Capitale Conakry. Le secteur d’eau est confronté lui aussi à de graves difficultés de production et de distribution.
Cela résulte à la fois de l’extension géographique de l’accroissement démographique de la ville de Conakry et de la vétusté du circuit de distribution. Ce triple phénomène fait apparaître un déficit important entre les besoins de consommation et les distributions. Pour assurer une déserte normale, un programme d’urgence à été mis en place pour la réalisation de nouveaux forages, la réhabilitation de forages excitants et l’équipement des stations de traitement d’eau. Il permettra de fournir aux populations de la Capitale, une production journalière moyenne supplémentaire de 10 millions de litres.
Le coût total de cette solution intermédiaire est de 2,3 milliards de francs guinéens dont 17 millions à la charge de l’Etat.
Aboubacar Camara, fonctionnaire : C’est une honte pour notre pays, un pays considéré comme le château d’eau de l’Afrique de l’Ouest, ont pas d’eau potable convenablement. Le gouvernement doit prendre les dispositions idoines pour venir en aide à la population, car l’eau, c’est la vie.
BIS