La journée de la culture cubaine s’est ténue à la résidence de l’ambassadeur de Cuba en Guinée, sise à la cité ministérielle dans la commune de Dixinn, le 22 octobre dernier. Sous l’égide de Roberto Rodriguez Péna, l’ambassadeur de Cuba en Guinée, accompagné de son homologue angolais et les ressortissants cubains en Guinée.
En définition, la culture est l’ensemble des actions humaines, économiques, politiques, scientifiques, juridiques, religieuses sociales et de la communication d’une manière générale.
D’entrée, l’ambassadeur de Cuba en Guinée, dira que la culture a à voir avec le mode de vie, notre façon de penser et d’agir et de démonstration légitime de ce que nous étions, ce que nous sommes et de ce que nous serons. La culture doit être assumée comme une ressource précieuse pour l’avenir et le développement humain. Elle contribue à atteindre une meilleure qualité de vie, individuelle et sociale. La culture est une composante de la race humaine et le créateur de valeurs et d’éthique.
Elle ne doit pas être conçue comme une création artistique et littéraire, mais comme tout ce qui a à voir la spiritualité humaine. La culture est un instrument de cohésion sociale.
Pour son importance historique, le 22 août 1980, le cabinet a décidé de créer le 20 octobre comme le jour de la culture cubaine.
Poursuivant son intervention, l’ambassadeur de Cuba en Guinée, dira que le développement culturel et scientifique du peuple de Cuba lui a permis de prolonger l’expérience de vie des cubains qui était de 60 ans en 1959 à 78 ans de nos jours. En plus à Cuba, malgré le blocus cruel, criminel et inhumain imposé par les Etats-Unis contre Cuba, la résistance digne du peuple cubain et leur attachement à la révolution, les a permis d’atteindre des objectifs très importants dans le pays.
Par conséquent, nous célébrons cette de la culture dans la reconnaissance des racines qui nous ont permis d’aller de l’avant et se préparer à obtenir des résultats supérieurs à l’avenir pour le développement humain de notre peuple, de notre culture. Martel l’ambassadeur.
BIS