Plusieurs raison nous présentent à cette impérieuse nécessité. Ils ya d’abord le fait évident que désormais la santé est devenue un marché au même titre que le riz. De ce fait, l’industrie des médicaments est rigoureusement soumise à la loi du rendement.

Cela signifie que la déontologie médicale, la morale et donc la qualité des médicaments et des soins prodigués sont de plus en plus sujets à caution. Il est désormais établi que les médicaments correspondent de moins en moins à l’idée que les patients sont en droit d’attendre. Cet écart entre ce qui doit être et ce qui se fait est particulièrement grave dans les pays en développement.

Il arrive souvent que l’on y déverse des tonnes et des tonnes de médicaments périmés. Les usagers innocents de ces médicaments se trouvent ainsi exposés à toutes sortes de gros risques.

Les efforts de la République de Guinée à déployés et déploie dans ce sens, notamment depuis la première république, sont considérables bien qu’insuffisants au regard de la tâche à faire.

Dans cette optique, il apparait clairement l’impérieuse nécessité de donner à la médecine  traditionnelle  une place correspondante à ce qu’elle représente effectivement dans la vie des guinéens. Plus de 80% de la population guinéenne continue à se soigner à l’indigène.

Selon El hadj Sory Camara, la campagne guinéenne regorge de vieillards  d’âge étonnement avancé. Ils n’ont jamais le moindre constat avec la médecine  moderne. Ils se sont toujours contentés de la médecine locale. Donc, cette pratique ne datte pas aujourd’hui, nous devons faire un tour au village, s’inspirer les personnes âgés, pour que demain notre médecine traditionnelle soit forte et considéré.

Je lance un appel à l’endroit des autorités en place de mettre les moins pour valoriser la médecine traditionnelle en Guinée.

BIS