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Habitat: La population de Conakry respire en poussière.

Appelé dans les temps, la perle de l’Afrique de l’Ouest par sa beauté et sa propreté la capitale Conakry, est de nos jours, plongée dans la poussière profonde, pour cause du manque de précaution et d’hygiène dans plusieurs chantiers de la ville.

L’état dans lequel se trouve cette belle ville est causé par le manque de volonté dans la prise de décision. Aucune  rigueur  certaine n’est mise en pratique pour permettre aux constructeurs de bâtiments, des voiries routières et autres, afin de préserver la santé de la population.

Conakry, capitale de la République de Guinée est  l’une vieille capitale de l’Afrique de l’ouest. Cette capitale est aujourd’hui, en plein chantier. Cela fait que sa population vit dans un risque de maladies car, les poussières qui couvrent la ville contiennent de multiples composants bactériens, qui évidemment pourraient affecter la santé des riverains.

Les autorités à tous les niveaux devraient s’impliquer pour la mise en œuvre des projets salvateurs et surtout dans les domaines environnementaux. Le département des actions sociales s’occupe du bien des citoyens, le département de la Santé publique et d’Hygiène s’occupe de la santé et propreté, le ministère de la Sécurité pour garantir la préservation ou l’application des lois établies et surtout le département des Travaux publics doit tenir compte le bien être de la population. Devant toutes  ces nécessités, les organismes étatiques à leur tour devraient minutieusement se pencher sur cette question, en adéquation avec les normes en vigueur nationale.

En revanche, Il n’est pas mal de construire mais, en le faisant, il serait judicieux de légiférer des lois permettant de respecter les principes de construction en vue de rendre meilleur cette pratique. Car, la notion du civisme demeure indispensable c’est pourquoi l’affirme un penseur ‘’ ma liberté s’arrête, là où commence celle des autres ‘’, ceci dit de se conformer l’application des normes édictées par les environnementalistes locaux.

 BIS

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