Nul ne peut contester qu’en Guinée, les Filles ont tendance d’oublier le mode vestimentaire Africain. Aujourd’hui, les tenues propres à leur identité culturelle, sont souvent abandonnées dans les rencontres. Pourtant, c’est elles qui donnent avant tout, la valeur de femme noire. Dans les entrevues, elles sont nombreuses à être vêtues de manières qui ne produisent pas de l’image réelle de l’Afrique.
Cette mutation culturelle qui entre de plus en plus dans nos mœurs, montre à quel point, l’Afrique a fameuse d’ambition d’imitée les blancs. De nos jours, si une fille ne se trouve pas en mesure de trouver, ces tenues, afin de participer les rencontres, alors, ça trouble le sommeil. Et, bonjour le dégât psychologique. Pour une chose, qui n’est, pourtant, pas la sienne. Les leaders religieux, supposés gardiens de la valeur morale, sont devenus impuissants, de ce dérapage. Oui, bien sûr, ces habits sont faits, pour porter. Mais, là est l’erreur.
Certaines filles guinéennes s’habillent de manière, contraire à une société croyante, sage. Dans la rue, elles marchent à moitié nue, vêtues en tenue rétrécie, rentrant dans tout son corps; les seins à moitiés visibles, les cuisses dehors, où la majorité de la population guinéenne est musulmane.
Si cette pratique prend de telle envergure, a qui la faute ? Franchement pas les blancs qui nous imposent. Mais tous ceux qui soutiennent les enfants dans cette mutation culturelle. Ces filles pensent que c’est la meilleure façon d’attirer les hommes « Quand on s’habit pas dans ces tenues extravagant, les hommes ne te regardent même pas ». D’après Aminata Bangoura élève en 10ème au Groupe scolaire N’Gadi.
Réellement beaucoup d’homme n’accepte pas d’entretenir des relations durables avec ces genres de filles. Les réfractaires vis-à-vis de ce comportement néfaste, ils estiment que certains parents ont leurs part de responsabilité totale de cette naufrage culturelle.
Fodé Aboubacar Camara, étudiant de son état : estime, que beaucoup des parents apprennent à bas âge leurs enfants dans cette culture ignoble. « Chaque fin d’année, certains parents achètent ces tenues pour leurs enfants » a-t-il souligné.
BIS