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Défis du système de santé guinéenne

Le financement du système de santé qui en dépendra de son organisation, de son animation et de sa gestion, qui feront la satisfaction des besoins de la santé des populations et justification de toutes les activités qui y seront déployées. Une expression appropriée à travers la mise en œuvre de la couverture sanitaire universelle. Pour son ébauche, l’élaboration d’une stratégie de financement qui s’est avérée utile pour mieux faire ressortir et partager les implications de cette grande ambition de protection sociale de nos populations contre les maladies et les risques financiers qui lui sont associés.

La question de l’accès aux soins de santé, l’amélioration de la santé en Guinée en générale, est une question transversale, une question que tous les experts du développement considèrent comme étant un indicateur important du processus du développement. Le développement doit être considéré comme étant un processus continu d’amélioration de condition de vie de toute la communauté. On ne peut pas éliminer la pauvreté sans une caution importante d’investissement pour favoriser l’accès aux soins de santé, comment faire pour que les populations d’une entité donnée aient les mêmes capacités d’accès aux soins de santé. La question fondamentale qu’on se pose, c’est l’accès aux soins de santé. L’administration sanitaire guinéenne mesure tous les indicateurs de fonctionnement de toute l’administration publique guinéenne.

Pour comprendre les problèmes du système de santé, il faut déterminer les rôles des principaux acteurs de la santé guinéenne, qui sont :

L’Etat, le personnel, la population, les partenaires au développement. Mais l’Etat doit investir pour construire et équiper les structures de santé, assurer le salaire du personnel de la santé, développer et respecter l’aspect institutionnel, appuyé et contrôler à tous les niveaux pour lutter contre les contrevenants et développer la notion de l’engagement communautaire.

Les personnels aussi doivent sensibiliser les patients, respecter et rassurer les patients, assurer les soins de santé de qualité, respecter les tarifs officiels fixés par les autorités sanitaires, mais surtout créer un climat de confiance entre la population et lui.

La population doit faire confiance à l’autorité sanitaire, contribuer pour sa santé, stopper l’automédication, reconnaitre ce que l’Etat fait pour sa santé, accepter d’aller vers les structures médicales pour se faire soigner.

Les partenaires aussi doivent appuyées l’Etat pour la mise en œuvre des programmes et projets liés à la santé et accompagnées  l’Etat dans la construction et l’équipement des infrastructures sanitaires.

BIS

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