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Transport public : que fait-il le Ministère des Transports en vue de s’assurer pour des éventuels déplacements ?

Ministère des transports, chargé de réguler le bon fonctionnement des réseaux routiers, maritimes, aériens et ferroviaires du pays, est de nos jours déconnecté des réalités auxquelles les populations guinéennes aspirent. Au regard de cette préoccupation, nombre d’observateurs fustigent le manque de responsabilité et de volonté afin de remédier cette tare.

Avec une population estimée à 11 millions d’habitants, la république de Guinée peine à se doter des engins de transports urbains et interurbains moderne pour faire face aux nombreux défis qui  l’interpelle. En effet, pour la petite histoire, dans les années 90, sous la gestion SOGETRAG l’acquisition des bus était une chose abordable pour les citoyens, soit en termes de transport et aussi de la possibilité de l’avoir pour se déplacer.

Très inquiètent, les citoyens se posent la question à savoir : où sont partis les bus Soguitrans, les bus offerts par la coopération turque, le train Conakry Express et autres bien de communication ? En outre, quelle est la stratégie perspective de développement dans le secteur de transport dans le but de concurrencer les autres pays ? Ce sont autant d’interrogations que l’opinion publique guinéenne se pose.

visiblement, aucun traité, aucun protocole d’accord et de conférence de presse n’a été mis sur la sellette afin d’expliquer les ambitions dudit département pour les défis de la mondialisation. Malgré ces multiples anxiétés sur la question, les disfonctionnement pâtissent dans ce secteur.

Par ailleurs, les souffrances aux heures de pointe sont de misent pour la plus part des concitoyens, qu’en bien même de 6 heures à une heure incertaine, les usagers ne favorisent que ceux qui optent les déplacements (privé). Or tout le monde n’a guère les moyens d’en prendre. Aussi vient de greffer la cherté des motos taxis, 5000 fg pour les déplacements entre les quartiers du centre ville de Kaloum, hors mis cela, il en faudra payer plus.

Pour l’heure, les frustrations s’accentuent et les voies et moyens piétinent au grand dam des populations.

Am Touré

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