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Les réseaux sociaux rivalisent-ils les groupes médiatiques ?

Avec l’avancée vertigineuse de la numérique et l’accumulation des réseaux sociaux sur l’internet, les médias ne sont désormais pas les seuls a monopolisé le secteur de l’information, pour cause de la promptitude des blogueurs par-ci, par-là.
En effet, depuis le début des années 2004-2008, plusieurs activités sont relayées à travers les réseaux sociaux plus particulièrement facebook et Twitter. Cela se manifeste couramment à l’instant T, lorsqu’un événement se produit dans un endroit, il suffit de prendre son appareil photo ou téléphone filmer les réalités des choses avant de les postées sur l’internet.
Cette mutation d’ordre numérique a dorénavant suscité de multiples conséquences chez les populations, quand bien même avec les nouvelles créations sur facebook (en direct), les citoyens les projettent en vue d’étendre l’information ou soulager la curiosité des uns et des autres.
En dépit de sa rapidité, les réseaux sociaux sont naturellement loin d’être professionnel comme ceux des groupes médiatiques classiques. Ainsi, ils ne traitent point les sujets ou bien même, essayer de sélectionner les parties phares de l’événement afin les rendre sures et fiables.
Or, les médiums classiques ont l’apanage de travailler avec le plus grand professionnalisme, les images soignées, les reporters qualifiés et plusieurs autres effets positifs pour les transmettre de manière plus aisée.
Par ailleurs, ces symbioses de communication s’appuient également sur la contradiction des faits, lorsqu’il s’agit d’un cas précis, les amateurs ne se maintiennent guère de la véracité des actes car ils ne fouillent pas à la source du sujet donné ; leurs seules préoccupations, c’est de véhiculer le sujet concerné, sans pour autant se pencher sur les normes du métier.
Ousmane Samaké internaute à Dixinn, « en compagnie de plus 600 millions d’internautes/ jour, les réseaux sociaux sont devenus l’épicentre de la communication mondiale, toutes les grandes entreprises sont enregistrées sur la toile, c’est pourquoi il est impératif d’être blogueur de nos jours. Malgré son caractère positif, ils affichent aussi des effets pervers et malveillants, surtout les informations non traitées qui créent la confusion un peu partout » a-t-il expliqué.
En claire, l’impact des réseaux sociaux sur le quotidien des populations ont certes provoqués d’énormes enjeux tant sur la rapidité, la crédibilité de l’information et aussi l’engouement y compris sur sa nature attractive des citoyens.
Amara Touré

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