La Guinée est le destin commun de toutes les ethnies qui sont de nos jours au centre de la vie quotidienne des guinéens. Après 59 ans d’indépendance totale et libre, la Guinée donne l’impression davantage dans la stagnation politique dû au manque crucial de dialogue permanent entre le chef d’Etat et les opposants.
A l’heure de la mondialisation, nombre de guinéens dénoncent déjà les hommes politiques, d’être à la basse de l’ethno stratégie pour se hisser au pouvoir. Cela prouve la faiblesse ces politiciens. Ces hommes politiques à travers leurs déclarations détruisent le tissu social et compromettent l’unité de la nation. Ce fait est en train de gagner du terrain et gangrener une bonne partie de la société guinéenne.
Comment mettre fin à cette pratique et changer la mentalité des populations, au nom de la concorde national ? Quelques citoyens se prononcent sur la question.
Ahmed Touré, informaticiens : Les gens ne comprennent pas que la Guinée est une famille, sinon que vous soyez de n’importe qu’elle région, il faut se rendre à l’évidence que la Guinée des Soussous, des peulhs, des malinkés et Toma est une et indivisible et la destinée de ce beau pays nous appartient tous, alors pourquoi on se crée la haine entre nous. Mais la politique veut briser tous ces acquis aux quels on reconnait le peuple de Guinée depuis plusieurs siècle de vie commune. Après 32 années de relatives stabilités, c’est-à-dire de 1958 à 1990, la venue de la démocratie et la naissance des partis politiques ont remis la stabilité guinéenne en mouvement. Et pourtant, cette paisible population vivait dans la paix, dans l’harmonie et la solidarité bien avant que la démocratie lui soit imposée comme étant le meilleur système de gouvernance. Certes vrai, mais on ne peut actuellement rien entreprendre de positif dans ce pays si l’on ne se donne pas pour priorité absolue la restauration du dialogue permanant entre le chef d’Etat et l’opposition.
Je lance un appel à tous les bons guinéens de voir l’avenir de la Guinée et ces fils qui viendrons demains pour gouverner ce pays que nous aimons tant.
Alpha Mara, étudiant : Pour moi les politiciens nous on séparer à travers ces différents manifestation. Pour moi, bannir l’ethnocentrisme, commence d’abord à bannir cette mauvaise politique. Donc, pour terminer, il faut que les acteurs politiques guinéens pensent qu’ils ne sont pas des ennemis, mais plutôt des adversaires politiques, car la démocratie c’est quand même l’espace social de la réflexion permanent pour trouver le meilleur moyen pour vivre ensemble le moins heurté possible sans pour autant museler les libertés. Et chacun à son tour, évitons de se lancer des injures pour rien, car les politiciens sont là justes pour leurs intérêts.
BIS