Depuis belle lurettes, le phénomène de l’immigration clandestine vers l’Europe connaît une ascension exagérée dû à la quête d’une vie meilleure pour certains et pour d’autres, le soif de se rendre en occident quel que soit cela peut coûter.
Aujourd’hui, les pays occidentaux notamment, l’Italie et l’Espagne sont devenues des territoires d’accueil pour des milliers et des milliers de ressortissants africains qui migrent vers ces pays, pensent-ils pour échapper à la pauvreté ou au chômage qui frappent leur pays respectif.
De leur pays d’origine à la destination finale qui est parfois moins chanceux pour certains, les migrants traversent des épreuves assez difficiles lors de la traversée comme la faim, le soif, le viole pour les filles, le risque de se faire brutaliser par des inconnus armés qui est d’ailleurs récurrent durant le trajet parfois même par des passeurs.
Après toutes ces difficultés rencontrées durant le trajet qui peut parfois durer de 3 à 4 heures de parcours pendant la nuit, c’est au tour de la traversée de l’océan qui relie les deux continents. Une distance pas tellement longue selon eux, mais difficile à traverser surtout dans les flotteurs et le pire quand c’est surchargé ou si la mer est agitée. Cette dernière épreuve de la traversée constitue un haut risque. Car, elle peut couter la vie à des centaines des milliers d’âmes ayant laissé leur famille à la recherche d’une vie aisée. Depuis la fermeture des frontières, l’immigration clandestine s’est développée de manière constante et concerne tous les pays occidentaux, même s’il s’avère difficile de la quantifier précisément en raison de sa spécificité.
C’est pour cette raison que l’immigration clandestine est un piège à ne pas pratiquer pour joindre les deux bouts, car, c’est une voie de misère qui peut conduire à la mort à plusieurs jeunes qui pourrait un jour devenir un président, ministre, secrétaire générale, directeur d’une ONG et pourquoi pas un fonctionnaire internationale.
De nos jours, l’Europe, l’Amérique latine et l’Espagne sont devenues une terre d’accueil. Des milliers de ressortissants africains migrent vers l’Europe pour échapper à des régimes autocratiques ou les violences et persécutions sont nombreuses, la pauvreté et au chômage qui bat son plein dans certains pays africaine. Ces dernières années, ce fut le cas en Guinée, au Cameroun, au Burkina Faso, au Zimbabwe, en Centrafrique, au Tchad, au Soudan, en Somalie. On dit qu’un Africain sur cinq vit dans une situation de guerre. Ajoutons-y-les situations de guerre civile comme en Libye, en Syrie, en Irak. Les migrants sont de jeunes adultes, souvent parmi les plus éduqués de leur pays qui se retrouvent à l’eau, à chaque naufrage, ce sont des dizaines, voire des centaines de filles et garçons.
Pour certains, les conséquences sont favorisées par les trafics d’hommes, la prostitution, les travailleurs clandestins et alimente toute l’économie souterraine.
Au-delà de toutes, les conséquences sont favorisées par les trafics d’hommes, la prostitution, les travailleurs clandestins et alimente toute l’économie souterraine.
Ainsi, l’immigration est à la fois encouragée par les familles qui en tirent profit et par le gouvernement, pour qui les transferts de fond de la diaspora constituent une énorme valeur ajoutée. C’est donc un instrument de développement. L’immigration est la solution adopter par les africains en difficulté, pour faire face à la pauvreté cyclique que connait le continent malgré ces risque
BIS