Le système démocratique Cubain est basé sur le principe du gouvernement du peuple et par le peuple qui trouve son expression dans le devis qui stipule que la Révolution « est faite par les humbles et pour les humbles ».Ce principe se matérialise par la participation du peuple à l’exercice et au contrôle actif des organes du pouvoir ,y compris à travers leurs institutions politiques et civiles ,et dans le cadre des dispositions légal en vigueur
Cuba est un Etat de travailleurs indépendants et souverains, organisé pour tous et pour le bien de tous comme une république unitaire et démocratique ,pour la jouissance de la liberté politique, de la justice sociale ,du bien être individuel et collectif et de la solidarité humaine .Jusqu’en 1959 ,la participation des citoyens à la vie politique n’était rien de plus qu’une chimère, dans une société marquée par la violence et la corruption politique.
Cela s’est produit dans le cadre d’un modèle, avec divers éléments imposes de l’extérieur, qui ne représentation que les intérêts des élites, notamment étrangères, et reproduisaient les cycles de pauvreté et de niveau de vie très bas.
L’Etat Cubain reconnait et encourage les organisations de masse et sociales qui rassemblent différents secteurs de la population, représentant consolidation et la défense de la société.
La loi prévoit, comme dans la plupart des pays, les mécanismes et les formes dans lesquels la participation du public devient effective.
Contrairement à ce que beaucoup de medias de désinformation font croire, à Cuba, il y a des élections périodiques dans lesquelles les gens ont un haut niveau de participation.
Le vote, qui est également volontaire, est l’une des formes de participer à la conduite des l’affaires publiques les plus élevés, en fonction de leurs capacités et de leurs mérites et non dépendance de leur capacité économique ou financière.
La participation de la société civile comprend le droit des organisations de masse et syndicales d’élire, de nommer et de désigner des candidats.
La nomination directe des candidats par le peuple est appliquée, et non par le biais du système des partis.
Lors des élections, les candidats sont appréciés pour leurs mérites et non pour la direction des campagnes médiatiques entre les partis politiques ou pour le soutien financier des grandes entreprises.
Les processus électoraux à Cuba ne sont pas de grands différends médiatiques entre les partis politiques, dans lesquels pour obtenir plus de voix, les candidats font des promesses qu’ils oublient rapidement ou qu’ils omettent délibérément de faire.
Les représentants élus ne sont pas engagés envers les donateurs pour financer leurs campagnes électorales .Leur engagement est limité seulement à leurs électeurs, qui peuvent les révoquer à tout moment, en vertu de la loi 89 de 1999 ou la révocation du mandat populaire.
Les mandats de tous les membres des organes représentatifs du pouvoir d’Etat sont éligibles, renouvelables et révocables.
L’existence d’un parti unique dans le système Cubain est le résultat de facteurs historiques et contemporains.
Cuba s’efforce de jour pleinement de tous les droits de l’homme et de toutes les libertés fondamentales pour tous ses citoyens.
L’amélioration du cadre juridique et institutionnel du pays pour la mise à jour du modèle économique et social, basé sur la préservation et le renforcement de la justice sociale et la solidarité.
La conciliation judiciaire a également été améliorée dans les processus familiaux et les procédures dans le cadre du travail et de l’économie.
Le peuple Cubain fait face à la politique de blocus des Etats Unis depuis plus de 50 ans, ce qui constitue une violation grave et systématique de ses droits humains.
Le pays a maintenu une coopération étendue avec les mécanismes des droits de l’homme qui sont appliqués sur une base universelle et non discriminatoire.
La constitution de la République de Cuba établit les droits fondamentaux, es devoirs et les garanties des citoyens, ainsi que les bases de leur respect, de leur réalisation et de leur production.
Toutes les églises et croyances sont respectées sans discrimination. La liberté d’opinion et d’expression est respectée à Cuba.
Tous les Cubains ont accès sans discrimination à la différemment. Une chose est la dissidence, et une autre, est le financement par un Etat ennemi pour provoquer la subversion.
Cuba non seulement protège les droits de son propre peuple, mais fournit également une coopération à d’autres peuples dans de nombreux secteurs, notamment ceux de la santé et de l’éducation.
Cuba a ratifié 44 instrumentaux des droits l’homme sur 61 qui sont reconnus internationalement.
Il y a une représentation syndicale au conseil des Ministres et dans les organes ministériels et corporatifs. Depuis 1938, le mouvement ouvrier Cubain a réalisé la conquête d’une centrale ouvrière unitaire dans lequel 17 syndicats et des milliers d’organisations de base participent aujourd’hui.
L’article 53 de la constitution de Cuba reconnait le droit à la liberté d’opinion, d’expression, de la presse de tous les citoyens.
La liberté d’opinion, d’expression, d’information et de presse est reconnue pour tous les citoyens.
Cuba défend le droit des peuples à l’information comme prémisse de l’exercice du droit à l’expression.
Les conditions matérielles pour l’exercice de la liberté d’opinion, d’expression et de la presse sont offertes par un haut niveau éducatif et culturel et le fait que la presse, la radio la télévision, cinéma et les autres medias sont de propriété sociale.
Cuba promet la liberté religieuse.
La Révolution Cubaine, depuis 1959, a respecté toutes les églises et croyances religieuse, sans aucune discrimination.
Les articles 8, 42, et 55 de la constitution de Cuba établissent que l’Etat protège, reconnais, respecte et garantit la liberté de culte.
A cuba, les parents sont libres de donner à leurs enfants une éducation religieuse et morale, conformément à leur convictions, qui peuvent être réalisées par l’éducation religieuse au sein de la famille ou par différentes modalités de formation doctrinale et liturgique
L’Etat cubain entretient des relations cordiales et respectueuses avec les autorités ecclésiastiques des différentes confessions présentes dans le pays ; et a donné toute les facilités nécessaires à ces institutions pour développer leurs activités dans le pays.
A Cuba, la peine de mort n’a jamais été appliquée aux femmes, la loi interdit son application aux mineurs de moins de 20 ans et aux malades mentaux.
Personne n’est actuellement condamné à la peine de 30 ans ou à la privation perpétuelle de liberté. La peine de mort n’a pas été appliquée à Cuba depuis 2003.
Dans sa vocation profondément humaniste, l’Etat cubain a mis au point un système pénitentiaire qui répond aux normes internationales, y compris les règles minimales pour le traitement des détenus et l’accès des prisonniers aux services de soins de santé sur le même pied d’égalité que le reste de la population Cubaine.
Le système carcéral cubain a une approche de prévention, de rééducation et de réintégration sociale, mise en œuvre à travers des programmes sociaux. Les détenus sont encouragés à intégrer des programmes de formation professionnelle et de promotion culturelle, y compris des études universitaire. Il n’y a pas de discrimination dans les prisons Cubaines .Tous détenues reçoivent le même traitement et ont accès aux même conditions de vie. La pratique de privation de communication aux détenus ou aux sanctionnés est absolument contraire à l’ordre pénale et procédural à Cuba tous les détenus reçoivent de la nourriture, des soins médicaux et dentaires, l’enseignement, la formation technique, profitant des activités artistiques, sportives, culturelle et récréatives ;reçoivent des visites de famille et des amis ,une compensation financière pour le travail effectué, des avantages de la sécurités sociale, et la jouissance des visites conjugales.
Et autre, ils font des appels téléphoniques ; procédures judiciaires par l’intermédiaire d’un avocat ou de la prison elle-même, profitant de sortir à l’ère libre tous les jours ; reçoivent des visites et de leurs avocats ; et peuvent déposer des plaintes recevoir des réponses à leur encontre, pour réclamer contre toute mesure disciplinaire qui leur est imposée ; entre autres droits.
BIS