Mieux vaut tard que jamais, dit-on. Tant attendues les élections communales pointent à l’horizon, question de jouer, exactement du 19 janvier au 3 février 2018. Face à tel enjeu pour notre démocratie, l’heure est à observer le maximum de retenue, de sérénité, du respect des valeurs qui nous unissent au sein de la nation, dans un Etat de droit, une République digne, souveraine et indépendante.
La Guinée s’est toujours distinguée dans les épreuves de grande envergure comme les joutes électorales ; un pays de paix et du respect d’autrui dans l’unité recouvrée.
Au-delà des sensibilités politiques, qui nombreux d’ailleurs, les acteurs doivent jouer à la concorde, à l’unité et à la paix qui sont les valeurs que nous devons défendre à tout prix, contre vents et marées.
La Guinée est appelée à choisir ceux qui doivent défendre de leurs aspirations légitimes de développement socioéconomique. Ceux-là seront les garants de la démocratie à la base, les portes-flambeau de citoyen et les défenseurs des acquis démocratiques chèrement acquis.
Donc, dans les 342 circonscriptions électorales sur l’ensemble du territoire national, on enregistre 1003 listes et plus de 3000 candidats au poste de conseiller.
Ce sont les fils de Guinée qui, au cours de cette campagne électorale, parleront de la Guinée, par des propositions de société qu’ils voudront pour la Guinée. Le tout sur un fondement unique : la paix en dehors de laquelle rien n’est possible.
A Toure