La saison des pluies est souvent perçue comme une période extrêmement sensible aux épidémies particulièrement les maladies diarrhéiques. La mutation entre ces deux temps (saison sèche et pluvieuse) ne n’assure guère de bons augures pour les personnes à faible immunité.
En effet, force est de constater, dans la plupart des régions tropicales surtout celles de l’Afrique, il est évident que nous remarquions l’émergence les maux intestinaux causés par la mal nutrition et de l’hygiène par ci-par là.
On se souvient il y a 24 ans en Guinée (1994), une grande épidémie diarrhéique nommée choléra, il submergea les populations, endeuillant ainsi des milliers de familles et laissant outrageusement un grand nombre d’orphelins.
Lorsque le changement climatique s’opère (15 mai le plus souvent), avec l’humidité du sol, généralement les plus petits tombent malades parce qu’ils ne possèdent pas assez de résistant dans leurs corps respectifs, mais aussi ils sont vulnérables vis-à-vis de ce métamorphose climatique.
Certes, avec les expériences plus ou moins élucidées en la matière, il est conseillé de :
De laver les mains avant chaque repas, se rincer également les mains après chaque toilette, l’utilisation des colorants pour la désinfection des eaux ou n’importe quel aliment végétal ou sensé être consommé sans cuir, éviter des endroits sales.
Cependant, il est crucial de tirer une sonnette d’alarme à l’égard des populations les plus vulnérables notamment (enfants, femmes et pauvres) en vue de prévenir un éventuel fléau, qui pourrait créer un énorme embarras au grand dam de tous.
A Touré