Dix-sept ans après le douloureux attentat perpétré à New York sur les deux tours jumelles le 11 septembre 2001, le peuple américain garde toujours en mémoire ce triste anniversaire. Plus de 3000 personnes sont mortes et les dégâts matériels et financiers considérables. Le groupe terroriste Al-Qaida avait revendiqué cette agression.
C’est tout un pays qui a été traumatisé, ce 11 septembre, deux avions de lignes américaines détournés par des terroristes quelques minutes plutôt, perforent les gratte-ciels les plus élevées du monde.
Plus de 40000 personnes y travaillaient à cet instant. Prisonniers des flammes, nombres d’individus se jetèrent par terre, pour pouvoir s’échapper des fumées.
La flamme sur les deux tours de world Trade Center aurait duré une heure, avant de s’effondrée. Le quartier de Manhattan ressemblait à une cité en guerre, les ruines gigantesques par-ci, par-là. La panique s’installa, un peu partout à New-York, des milliers de personnes sont portées disparues.
Plus que jamais évident, des milliers de pompiers et policiers furent mobilisés. Les autorités de la ville de New-York en occurrence, le Maire Rudolph Juliani avait mis en place une cellule de crise, en vue de faire face aux multiples défis auxquels New-York était confronté.
Plus loin, au sud de New-York, l’autre symbole de la puissance américaine fût partiellement attaqué, le Pentagone (Ministère de la défense), le bilan était aussi lourd et de dégâts matériels sont illimités.
Avec la ténacité de certains passagers du quatrième vol détourné, en direction du Capitole (le parlement américain), l’avion s’écrasa dans la forêt de Pittsburg en Pennsylvanie. Aucun survivant n’avait été signalé.
Cette date avait endeuillé des milliers de familles, vacillée la bourse mondiale et bien attendu provoquée le spectre d’une guerre de religion entre l’Occident chrétien et l’Orient musulman.
Certes, une nouvelle crise sécuritaire émergea les pays d’où la montée Djihadisme dans les cinq continents.

Amara Touré