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Les jeunes filles et la drogue

Depuis l’ouverture des frontières de notre pays au monde extérieur et l’accueille massif des refugiés de certains pays de la sous-région qui ont connus des guerres civiles nos sœurs sont devenues incontrôlables au profit des sales comportements qu’adoptent ces étrangers. Notamment, cette lancée forte de nos filles dans la consommation de la drogue et la cigarette sur toute l’étendue du territoire national en général et surtout dans la ville de Conakry qui enregistre un taux très élevé dans la pratique ce phénomène.
Et, d’après les constats fait sur le terrain à propos de la consommation de la drogue dans notre Capitale par les jeunes filles qui sont censées d’être des futures bonnes mères d’une nation qui a besoin de nouvelle génération intègre. Et selon les témoignages concernant cette pratique, les conséquences sont énormes car, c’est un phénomène qui en train de se procréer un peu partout en Guinée.
Pour Mariama Camara habitante à Kaporo port « avant, on ne voyait que des garçons dans cette pratique et aujourd’hui je suis navré de voir nos filles se lancer sans crainte dans une telle pratique déshonorable non seulement pour les familles mais aussi pour toute une nation.»
Pour M. Mohamed Soumah habitant à Kaloum « aujourd’hui tout bon Guinéen a le droit de s’inquiéter sur la vie que mène les enfants pays, surtout celles-ci qui sont supposées d’être des prochaines éducatrices dans les foyers se trouvent hors cadre au détriment de la consommation de l’alcool, la cigarette et celle de la drogue qui poussent même certaines dans la prostitution aussi l’abandon des maisons familiale.» Il est crucial que les autorités en place et les parents s’unissent pour mettre fin à ce fléau qu’embrasse pas mal de filles de notre pays, sinon, prouvant éviter cette voie de perdution, car cela pourrait permettre le pays à mieux cerner le chemin de salut. ajoute M. Soumah.
Pour Mlle Salematou « je suis une fille qui a presque tout perdue, avant de me lancer dans la consommation de la drogue j’étais la fille la plus aimée en famille à travers mes comportements à la maison qu’à l’école. J’étais toujours première à l’école mais depuis ma collaboration avec certaines amies qui m’ont entrainé dans cette vie grâce à laquelle j’ai perdue l’amour de mes parents y compris ma virginité. » Le chemin est long et il est temps pour nous les filles du pays de prendre conscience en renonçant les comportements que nous pratiquons, ajoute Mlle Salematou.
Et rien est tard pour éradiquer ce fléau en Guinée, il suffit d’appliquer les lois à la lettre condamnant ainsi cette pratique. Car, notre pays a vraiment besoin d’une génération consciente pour remplacer les ainés dans les rêves qu’on n’a beau espéré dans le domaine de la prospérité et développement adéquate par rapport à certaines nations frontalières.

AMS

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