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Dépigmentation masculine, une réalité en Guinée

C’est à la fin des années 60 que ce phénomène de dépigmentation de la peau est apparu en Afrique, dans certains pays, comme la Guinée, les hommes se comparent aux femmes, c’est-à-dire, les hommes ont pris la place des femmes dans ce domaine. En Guinée, les hommes remplacent les femmes de nos jours. Car, pour des raisons esthétiques, les hommes qui se dépigmentent la peau c’est devenu un style et une mode pour la nouvelle génération.
Les hommes de teint noires est en voie de disparition en Afrique, particulièrement en Guinée. Aujourd’hui, il n’est pas surprenant de rencontré des hommes à deux couleurs sur sa peau, les plus malchanceux se retrouvent avec des visages brulées, des taches noires sur le corps, les utilisateurs se procurent ces produits sur les marchés ou ils circulent sans aucun contrôle et sont proposés par des revendeurs dépourvus de toutes compétences.
Docteur Moussa Camara, Centre de santé domino: « Malgré les conséquences avec panoplie de danger pour la santé. Qui porte essentiellement sur l’hypertension, le diabète, le cancer de peau, les problèmes osseux, des difficultés lors des opérations chirurgicales.
Au-delà, même de ces maux, la peau dépigmentée a des brulures de couleurs différentes, des cicatrices, d’odeurs puantes et difficilement respirables. Elles ne supportent plus les rayons solaires. Selon une étude la pathologie dermatologique serait la deuxième cause de mortalité après le paludisme. Donc, il faut vraiment que la dépigmentation s’arrête surtout chez les hommes pour votre propre état de santé ».
Aissatou Soumah, une femme d’affaire : « J’ai connu la dépigmentation que chez les femmes. Parce que, c’était une façon de séduire les hommes, mais voir aussi les hommes le faire, je suis plus que dépasse pour ça. Pourquoi les hommes copient les femmes. Il n’est pas rare de voir des hommes achetés des crèmes dépigmentant.
Les hommes au teint naturel sont en voie de disparaitre de nos jours. Le phénomène de la dépigmentation n’a jamais cessé d’être d’écrire autant dans la presse que dans d’autres milieux. Cependant, elle continue d’être pratiquée par certains hommes ».

BIS

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