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Justice : le barreau de Guinée en formation

Nous conduit tout vers l’abime de l’insuffisance et de la vantardise qui sont des comportements haïssables. Pour le procureur Général près la Cour Suprême, Maurice Lamey Kamano, a au cours de son allocution rassuré les participants qu’il est important de rappeler que nous puissions apporter tous les soins nécessaires, l’examen des études qui sont soumis par nos clients .Nous exerce le métier d’avocat dans les conditions parfois difficiles et pénibles. Et il n’y a pas des contraintes qui vont être levées dans le temps. Selon lui, la première c’est avoir acquérir une bonne formation. Il a enfin rappelé la citation d’un penseur qui disait ‘’ pour vivre heureux Dans le cadre du renforcement des capacités des avocats, le barreau de Guinée a organisé ce lundi une formation à l’intention des avocats. Cet atelier de 5 jours a débuté dans un réceptif hôtelier de la place ici à Conakry sous le thème « Nos pratiques professionnelles et notre déontologie ». Cette formation a regroupé plus de quatre-vingt participants venus de barreau de Guinée afin de permettre avocats de renforcer efficacement leur profession.
A l’ouverture des travaux , le bâtonnier de la République Djibril Kouyaté a au cours de son intervention rappelé aux participants que la profession d’avocat est un éternel apprenant , aucun avocat ne peut se vanter de pouvoir se passer de la formation .Donc, aucun avocat n’a le monopole de la connaissance pour avoir la certitude qu’on a le monopole du savoir et longtemps, il faut être avocat’’
Pour Me Philipe Mailet, formateur Français et avocat du barreau de l’Essonne a quant à lui mis en exergue les participants sur la déontologie tout au long de la session .Rappelant que la République de Guinée a une grande connaissance du droit et pose pas de problème. Et pourtant, souligne-t-il, c’est la déontologie qui fait que nous existons, sinon d’autres font le métier à notre place. En France par exemple, nous avons une déontologie que nous avons développée depuis des siècles qui commence à être bien installée avec des règlements intérieurs qui sont bien établis. Cette déontologie affirme le formateur est la garantie des clients.
Pour le chef de Cabinet du ministère de la Justice, Mohamed Koly Camara, a salué les participants pour tous les efforts consentis pour la réussite de ces cinq jours de travaux. Le chef de cabinet a aussi rappelé aux participants qu’un avocat bien formé et connaissant la déontologie de son métier et qui contribue efficacement pour le développement de la Justice.
Le chef de Cabinet, n’a pas manqué un seul instant de rappeler aux participants que la profession d’avocat repose absolument sur un ensemble des règles strictes aux quelles tout avocat doit obéir pour avoir la dignité et de la confiance du peuple. Car, l’avocat est un maillon important de la Justice et pour réussir, il faut de la rigueur pour risquer de la confiance aussi et surtout de la formation.

BIS

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