Pour la propreté de la ville de Conakry, le combat concerne à la fois les sociétés et entreprises productrices ou utilisatrices d’objets en plastiques et les habitants des quartiers.
Si, les ordures ménagères sont rencontrées çà et là en tas d’immondices, il est aussi important de reconnaitre que les sachets d’eau qui jonchent les coins et recoins de la Capitale guinéenne contribuent tristement à aggraver la situation.
La gestion des ordures ménagères et des emballages en plastiques est devenue une problématique. Malgré les multiples efforts consentis par les autorités avec l’implication des ONG et autres partenaires de la place le résultat est toujours en déjà des attentes.
Apparemment, les efforts consentis semblent vains. Des emballages en plastiques vides, sachets d’eau et autres, quotidiennement consommés à maints endroits sont jetés partout et en quantité effrayante sans se soucier de l’insalubrité que cela entraine.
Un spectacle désolant et aucune précaution n’est envisagée pour les citoyens pour freiner cela.
Vivement la nécessité d’impliquer les groupes d’individus, de sociétés devant s’occuper du ramassage et trouver des possibilités de destruction des emballages en plastiques usagés.
Alpha Ibrahima Bah, commerçant : « C’est un véritable problème pour notre pays. Pour moi, la Capitale Conakry ne mérite plus ça.
Donc, je demande à tout un chacun d’être responsable pour prôner le civisme. Notre Capitale doit changer. Car, selon le passé, Conakry était la perle de l’Afrique de l’Ouest. Pourquoi, ne pas renouer avec le passé en vue de soigner l’image de notre Capitale considérée à juste titre comme la vitrine autrement dit la porte d’entrée du pays ».
M’Boum Koumba