Malgré des initiatives gouvernementales, de déguerpir des  marchands au bord de la route de Conakry  endiguer aux embouteillages qui peinent quotidiennement des usagers de la route et aussi épargner ces étalagistes sur tout le risques qu’encoure à cette pratique.

A ces endroits  des citoyens continuent encore à faire la sourde oreille pour comprendre l’importance de cette décision.  Dans ces endroits, pagaille, embouteillages et autres pratiques  prennent une allure considérable, entrainée par des marchands qui occupent ces lieux pour faire leurs commerces.

Ce phénomène  y est  remarquable souvent dans l’après-midi, dans les marchés et aux grands carrefours, quand les travailleurs décident de rentrer à la maison et c’est en ce moment  précis que ces activistes envahissent la route au grand désarroi des usagers.

D’ailleurs, devant les murettes aux alentours des marchés, ces vendeurs sont installés dans l’anarchie jusqu’à occupant les bordures de route, toute chose qui favorise négativement à la fluidité de circulation et conduisant souvent à des accidents mortels.

A ce fait, vient s’ajouter un autre, c’est celui des ordures qu’abandonnent ces commerçants dans leurs places. Aujourd’hui, ils sont déposés aux bords de la route formant des montagnes d’ordure obstruent ainsi le passage pour les piétons.  Face à ce constat, certains estiment qu’aux bords de la route qu’on peut beaucoup vendre avec plus d’intérêt qu’à l’intérieur du marché. « Ce qu’on vend à l’intérieur du Marché à 10.000fg, on peut le revendre à 15.000fg à l’extérieur du marché d’après Aminata Bangoura vendeuse de collants au Marché Enta.

Pour d’autre, c’est par  manque de place à l’intérieur du Marché qu’ils installent au bord de la route.

Nous installons au bord de route par ce qu’il n’y’a pas de place à l’intérieur précise Dame  Fatoumata Sylla vendeuse de fruits  au Marché Enta.

BIS