Notre époque est dans la longue histoire de l’humanité, une période particulièrement critique. Parce que, marquée à l’échec absolue des valeurs morales et spirituelles, en même temps, il y’a une prépondérance totale de la civilisation occidentale sur nos habitudes et agissements.
C’est sans doute, raison pour laquelle la nouvelle génération s’habillent de nos jours comme bon leur semble, elles sont nombreuses à marcher presque nues dans les rues ou des pantalons déchirées. Ces habillements de la nouvelles génération: Robe, mini- jupe, collant transparents et d’autres habillements qui sont indigne. Cela nous donne l’impression d’être dans une société qui va à la dérive, celle qui ont étudié et qui sont censées d’avoir une vision beaucoup rationnelles sont les premières à donner les mauvais exemples.
De Kaloum à Lansanayah-Barrage en passant par Coléah, Madina, Matam, Dixinn, Bonfi, Sangoyah, Gbessia, Enco5, Hamdallaye, Yattaya, la transversal T6 Matoto, Sangoyah, Enta, Kissoso et Dapompa l’atmosphère est toujours la même.
Les lieux publics sont considérés par certaines jeunes filles de la Capitale comme un lieu d’exhibition des parties les plus intimes du corps, l’objectif, d’attirer l’attention des hommes sur eux. La majeure partie des jeunes filles dit s’habiller de la sorte est juste un simple plaisir et dans le but de paraître plus belle, mais étant donné que les calculs accompagnes toujours les actions, la vérité est que, le port de ces habillements extravagants n’est pas gratuit pour certains.
Pour la majeure partie de ces jeunes filles, c’est la civilisation qui nous vienne de l’Occident qui valorise une personne. Or, loin de les mètres en valeurs ces habillements, plutôt certains jeunes filles dévalorisent, elles ne bénéficient plus du même respect qu’elles avaient avant dans la société, il y’a aussi le silence coupable de certains parents laissent et parfois encouragent leurs filles à se vêtir d’une manière indécente.
Il faut rappeler qu’il ne suffit pas simplement de détester ou de critiquer ce mode vestimentaire, au-delà des critiques, il est important de prendre les mesures draconiennes devant contribuer aux changements des comportements de ces jeunes filles qui ont perdu la tête.
Dans un monde où se déchainent sans frein les attitudes les plus perverses et où se font accréditer les comportements les plus mauvais, il est de toute première nécessité que nos sœurs œuvrent dans le sens indiqué par la morale. Cet état de fait les amènera certainement à se vêtir de manière décente, cela paraît d’autant plus important quand on sait le rôle et la place qu’occupe la femme dans la transformation positive de la société.
BIS
