La République souveraine de Guinée, vient de célébrer le 1er mars 2020, ses 60 ans d’existence. Jadis appelée la banque de Guinée (février 1960), jusqu’à la création le 1er mars 1960, la monnaie guinéenne, ce qui donna une profonde mutation au changement institutionnel bancaire du nom de la Banque Centrale de la République de Guinée (BCRG) au même moment.
Pour rendre cette monnaie valeureuse et pérenne, un atelier de formation initié par le centre de formation et de perfectionnement en information et en communication (CFPIC), a été organisé le mercredi 4 et qui devra prendre fin le 5 mars à Kindia. L’objectif de rencontre, est de renforcer les capacités opérationnelles des journalistes pour pouvoir transmettre auprès du public cible, pour la bonne gestion des billets de banque.
Dans son intervention, le Directeur du centre de formation et de perfectionnement en information et en communication Abdoulaye Djibril Diallo dira « nous avons constaté que nous vivons actuellement l’heure de la spécialisation des journalistes et nous avons pensé que les journalistes guinéens ne devraient pas être en marge de cette réflexion, nous constaté également concernant le système bancaire il y a que nos billets de banque sont mal traités, pendant les baptêmes et les mariages vous voyez nos compatriotes pliés les billets de banque, parfois attacher les colas, les associés tout ça contribue à détériorer notre monnaie. Vous savez poursuit-il cette monnaie on l’a obtenu justement de haute lutte le 1er mars 1960 et aujourd’hui cette monnaie constitue un symbole national. Nous avons pensé qu’il fallait réinverser cette tendance pour le changement des comportements pour faire en sorte nos billets de banque soient considérés » a expliqué M. Diallo
Très satisfait de cette initiative cadre, le 2ème vice-gouverneur de la BCRG Baidy Aribot a tenu à préciser « c’est un plaisir pour la banque centrale de la République de Guinée d’accompagner cette initiative du CFPIC, j’ose espérer que la présente formation aura le grand écho auprès des bénéficiaire, cette année la BCRG animera 4 modules, après une présentation sommaire de la Banque centrale dans ses rôles et fonctions, les formateurs s’attèleront pour vous présenter le cycle de vie d’un billet de banque, de sa conception et sa mise en circulation. Ils expliqueront les faux monnayages, ainsi que les dispositifs de traitement des billets de banque, l’objectif est renforcer les capacités des participants dans le domaine bancaire afin de les permettre de couvrir de manière plus professionnelle les informations relatives aux activités de la BCRG » a promis l’ex ministre de la jeunesse.
« La Banque centrale est le symbole de la souveraineté et de l’indépendance de la Guinée, toute activité et toute action qui pourrait nuire l’image de la BCRG par son fonctionnement ne peut être nuisible à la marche de notre pays. nous vous demandons, de suivre ces cours avec assiduité et beaucoup d’attention pour que nous ayons des changements de comportements » a exhorté le secrétaire général du Ministère de l’Information et de la Communication Mohamed Condé.
Les échanges pertinents entre les professionnels de la presse et les cadres de la BCRG pour éclairer la lenteur du public cible, pour le changement des comportements vis-à-vis d’un traitement de la monnaie guinéenne.
Pour rendre cette monnaie valeureuse et pérenne, un atelier de formation initié par le centre de formation et de perfectionnement en information et en communication (CFPIC), a été organisé le mercredi 4 et qui devra prendre fin le 5 mars à Kindia. L’objectif de rencontre, est de renforcer les capacités opérationnelles des journalistes pour pouvoir transmettre auprès du public cible, pour la bonne gestion des billets de banque.
Dans son intervention, le Directeur du centre de formation et de perfectionnement en information et en communication Abdoulaye Djibril Diallo dira « nous avons constaté que nous vivons actuellement l’heure de la spécialisation des journalistes et nous avons pensé que les journalistes guinéens ne devraient pas être en marge de cette réflexion, nous constaté également concernant le système bancaire il y a que nos billets de banque sont mal traités, pendant les baptêmes et les mariages vous voyez nos compatriotes pliés les billets de banque, parfois attacher les colas, les associés tout ça contribue à détériorer notre monnaie. Vous savez poursuit-il cette monnaie on l’a obtenu justement de haute lutte le 1er mars 1960 et aujourd’hui cette monnaie constitue un symbole national. Nous avons pensé qu’il fallait réinverser cette tendance pour le changement des comportements pour faire en sorte nos billets de banque soient considérés » a expliqué M. Diallo
Très satisfait de cette initiative cadre, le 2ème vice-gouverneur de la BCRG Baidy Aribot a tenu à préciser « c’est un plaisir pour la banque centrale de la République de Guinée d’accompagner cette initiative du CFPIC, j’ose espérer que la présente formation aura le grand écho auprès des bénéficiaire, cette année la BCRG animera 4 modules, après une présentation sommaire de la Banque centrale dans ses rôles et fonctions, les formateurs s’attèleront pour vous présenter le cycle de vie d’un billet de banque, de sa conception et sa mise en circulation. Ils expliqueront les faux monnayages, ainsi que les dispositifs de traitement des billets de banque, l’objectif est renforcer les capacités des participants dans le domaine bancaire afin de les permettre de couvrir de manière plus professionnelle les informations relatives aux activités de la BCRG » a promis l’ex ministre de la jeunesse.
« La Banque centrale est le symbole de la souveraineté et de l’indépendance de la Guinée, toute activité et toute action qui pourrait nuire l’image de la BCRG par son fonctionnement ne peut être nuisible à la marche de notre pays. nous vous demandons, de suivre ces cours avec assiduité et beaucoup d’attention pour que nous ayons des changements de comportements » a exhorté le secrétaire général du Ministère de l’Information et de la Communication Mohamed Condé.
Les échanges pertinents entre les professionnels de la presse et les cadres de la BCRG pour éclairer la lenteur du public cible, pour le changement des comportements vis-à-vis d’un traitement de la monnaie guinéenne.
Amara Touré, depuis Kindia