Les motards de la capitale se sentent isoler dans la circulation. Taxi moto ou pas ils sont tous confrontés à cette même situation, qui par leurs explications trouvent comme un mal nécessaire d’avoir une moto. Chaque carrefour correspond à une arrestation sans condition qui prend de plus en plus de l’ampleur. De kaloum à kagbelén, il faut être un corps habillé pour circuler normalement. D’après certains constats sur le terrain les ronds-points comme la tannerie, Matoto, Enta sont leurs points de regroupement.   

D’après Mohamed Sylla diplômé de son état qui a trouvé le taxi moto comme sur quoi de vivre par défaut du manque d’emploi nous parles un peux des difficultés dans la circulation : « Nous sommes menacés, même si les dossiers sont aux complets, ils trouveront une solution pour te soumettre à une caution absurde. Parfois on ne se retrouve pas facilement, la tenue est tellement influente qu’on n’a du mal à s’opposer sur leur menace pour réclamer son droit, tu tombes dans leur piège pas d’autre solution que l’argent »

« Si on parle de menace on cherchait un moyen pour dénoncer. Sa nous a pris au cou. L’on se pose la question si c’est un moyen d’avoir de l’argent ou ils ne sont pas salariés. Les policiers trouvent le conflit avec nous (motards) comme un crédo ». A dit Issiaga camara citoyen de Conakry qui a une moto comme moyen de déplacement pour ces courses.

Abdoulaye Bah motards pointe le doit à tous les carrefours de la route de prince   dixit : « de la belle vue à kagbélén circulé a moto à n’importe quelle heure est très compliqué, la nuit est plus compliquée que la journée, avec l’insécurité qui gan graine dans notre cité, Sans compté les quelques risques d’accident qu’on pourrait croisés en cour de route. Sans oublié que la route de prince est remplie des policiers qu’on en trouve partout, tant que y’a l’embouteillage, ils pensent que c’est le mieux pour eux car sa ne serait pas facile pour nous de s’échapper à leurs pièges, C’est l’une des raisons que le transport est un peut chaire ».

Pour en savoir plus de cette situation qui semble menaçante pour les uns et les autres, un constat sur le terrain pourrait nous résumez la véracité entre les plaignants et les accusés.

Ibrahima Sory Bangoura