C’était au lancement officiel des activités des 72H du livre que Dr N’Famara Camara s’est exprimé devant notre micro le samedi dernier.. C’était en présence de plusieurs personnalités et écrivains venus un peu partout.
D’entrée, le médecin et écrivain, Dr N’Famara Camara a remercié l’initiatives des organisateurs du projet des 72 heures du livre de Conakry. Une idée qui vise à promouvoir la lecture dans notre pays en vue d’une jeunesse bien formée et cultivée.
Car, pour Dr N’Famara Camara, une jeunesse bien formée et informée ne vise que le progrès de son pays par l’entremise de l’entrepreunariat  qui offre un cadre de vie idéale.
Promouvoir la culture du livre dans notre pays, la formation et l’information de sa jeunesse a- t- il souligné.
Mais, ce qui est plus important, c’est de donner l’amour du livre aux guinéens. C’est de faire la promotion du livre et la lecture.
 
Selon Dr N’Famara Camara, mon premier livre ça parle de la guerre civile EB Sierra Léone. Donc, à travers mon livre je peux faire connaître ce qui s’est passé pendant cette période à cette nouvelle génération, ceux qui n’ont jamais vécu cette guerre.
C’est aussi dit- il quand j’ai raconté l’histoire où le quotidien du guinéen depuis les premières heures de la lutte des indépendances jusqu’en 2020, je ne savais pas qu’à partir de 2020 que les choses allaient changer. Et aujourd’hui nous somme dans la transition, c’est pourquoi on parle surtout de la paix, de la réconciliation, de l’unité nationale et la conscientisation de jeune génération et ce livre parle de ça.
 
Pour finir Dr N’Famara Camara, dira que l’erreur du passé, il faut que nous tous nous puissions regarder dans la même direction. Parce-que, quand on veut parler du développement d’une nation, c’est tout ce qui est ressource naturelle qui sont exploitée par le peuple, c’est-à-dire les hommes.
Donc, il y’a les ressources naturelles et humaines, c’est les deux là qui font ensemble pour faire le développement d’une nation conclu Dr N’Famara Camara.
Ibrahima Sory Bangoura