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Conflit domanial : La famille Sylla encore menacée de quitter leur domicile

C’est à Coleah Libraport dans la commune de Matam que les policiers et certains loubards camoufler ont démolie les foyers appartenant à la famille Sylla.
Pour la petite histoire, le foyer appartient au vieux Moussa Sylla qui est mort à l’âge de 135 ans en 1988 laisse derrière lui une panoplie de problèmes.
Selon Djibril Sylla, le petit fils : « c’est le matin à 4 heures qu’on a vu 6 pick-up des policiers et un groupe des loubards camouflés devant chez nous. Ils étaient répartis en deux groupes, le premier groupe était vers l’autoroute et le deuxième vers la corniche. Ils sont rentrés, ont n’est sortis pour leurs demander pourquoi ils étaient venus pour nous déranger ? Ils ont répondu, ils nous ont donné l’ordre de vous déguerpir. J’ai dit, qui vous a commissionné ? Il n’ont pas répondu . C’est ainsi qu’ils ont commencé à casser les maisons. Certains même dormais profondément, on a Certains qui sont malades.
Ils ont tous chassé, et on a été chassé par les policiers qui sont censé de sauvegarder, protéger les citoyens guinéens. Certains sont à l’hôpital pour des soins » nous confie t-il.
Pour Djibril Sylla, notre avocat nous dit de ne pas riposter contre les policiers et c’est ça qu’on a respecté.
C’est la nommée Hadja Taïriatou Keïta qui a des faux documents du foyer et elle se dit que le foyer l’appartient » . a indiqué Djibril.
Pour la petite histoire, « Hadja Taïriatou Keïta a été logée par mon grand père depuis très longtemps. Mais à l’époque, mon grand père ne voulait pas, à cause des sages du quartier mon grand père a fini par accepter.  Elle était juste locataire. Un jour elle a appris qu’on avait perdu le dossier du foyer. Donc, elle est partit pour faire un dossier en son nom.
Nous lançons un appel à l’endroit des autorités surtout le président de la transition, colonel Mamadi Doumbouya, qui dit que la justice sera la boussole de tous les guinéens,  de nous aider .
Nous demandons la justice guinéens de faire triompher la vérité comme ça se doit » implore t-il.
Quant à Bountouraby Sylla, membre de la famille Sylla, ici appartient à mon grand père Moussa Sylla qui est mort à l’âge de 130 ans en 1988.
C’est n’est pas une première fois que cette dame vienne ici avec des policiers et loubards camoufler. En 2017 aussi, c’était la même chose.
Nous sommes justice déjà . Mais à  chaque fois qu’on nous appelle, elle ne répond pas, seulement nous qui répondais. Elle a été logée par mon grand père qui ne voulait pas la logé. À cause des personnes du quartier, le vieux avait finit par accepter.
Elle ne payait même pas le loyer ,presque tout le quartier est au courant de cette histoire.
Selon, Bountouraby Sylla, Hadja Taïriatou Keïta partait à la Mecque, elle est venue annoncer la nouvelle à mon grand-père, elle a dit qu’elle veut rénover maison avant de partir.  Mais, à l’époque mon père n’avait pas voulu qu’elle renouvelle la maison. Mon grand-père a dit laisse la, on n’est une famille maintenant.
Dès son retour, elle a appris qu’on avait pas des dossiers du foyer, elle est partit  faire pour elle soi-disant qu’elle l’appartenait.
Depuis lors, elle a commencé lutter contre nous.
Chaque fois, elle vient ici pour décoiffer les maisons.
Pour Bountouraby Sylla, en depuis 2017 ,on nous a interpellé tous à la justice, mais elle n’a jamais répondu.
Nous demandons à nos dirigeants, le président de la transition et surtout le ministre de la justice, Alphonse  Charles Wright de faire parler la justice. Car, en Guinée, un pauvre n’a pas raison face à un riche.
Ibrahima Sory Bangoura
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