À travers ses édifices délabré et rongés par le poids de l’âge, le stade du 28 septembre de Conakry est la principale enceinte sportive de Guinée. Il est situé dans la commune de Dixinn et a une capacité estimée à 25000 places.
Construit au début des années 60, le mythique stade du 28 septembre accueille les rencontres internationales de nos équipes nationales de football.
Aujourd’hui, c’est un stade qui ne répond plus aux normes internationales.
Le stade du 28 septembre présente de nos jours une image décevante. Ceci explique sans doute le retard pris par le ministère des sports, en plus la négligence de la Fédération Guinéenne de Football. Le stade du 28 septembre qui a longuement servi le peuple Guinéenne et étrangers à maintenant besoin d’une rénovation à la dimension internationale.
Les citoyens qui ont un amour profond de cet édifice qui meurt à petite feue n’entendent que les moyens et peut-être l’engagement ou la détermination de l’Etat pour réaliser cet édifice qui a tant rendu service à notre pays.
Construit par le régime, le stade du 28 septembre de Conakry est là juste pour le nom. Les peintures elle même n’existe plus depuis un bon moment, les fauteuils qui ne répond plus aux normes internationales et que dire de l’insalubrité du stade.
Mais jusqu’à présent rien n’a été envisagée pour bâtir un stade flambant neuf aux ententes des amoureux du cuir-rond guinéen.
Amadou Camara, entraîneur : le stade du 28 septembre ne doit plus être à cet état maintenant. Mais, le ministère en charge des Sports et la fédération guinéenne de football doivent être motivés pour rendre fière cette jeunesse guinéenne qui ne respire que du football. De nos jours, notre football n’est plus reconnu à travers le monde.
Le premier régime a tout mis en place pour rendre heureux cette jeunesse. Tant sur le plan sportif et culturel. Avant c’est deux disciplines qui payait les fonctionnaires. Mais, hélas notre pays qui est triple champion d’Afrique n’a aucun stade homologué par la CAF.
Tout récemment, la rencontre entre l’équipe féminine de la Guinée et le Maroc, sans vous mentir, c’était une honte pour nous.
Nous demandons à nos dirigeants de faire marche arrière pour prendre les mesures nécessaires pour les guinéens dans l’ensemble se sentent heureux.
Ibrahima Sory Bangoura