À travers ses édifices complètement délabré et rongés par le poids de l’âge, le stade de Coléah, situé dans la commune de Matam présente de nos jours une image très décevant.
Ceci explique sans doute le retard pris par cette département du ministère des sports.
Le stade de Coléah qui a longuement servi la jeunesse guinéenne et étrangers. En plus, la négligence de sa tutelle rapprochée, le stade de Coléah a maintenant besoin d’une reconstruction où d’une rénovation à la dimension internationale.
Actuellement ce lieu d’attraction pour les jeunes est dans un état très piteux.
Selon les remarques faites sur le terrain, les cailloux jonchent les abords de la pelouse synthétique qui a été mis par la fondation KPC et sans oublier aussi les déchets plastiques qui s’accumulent à l’intérieur ça et là.
Le stade de Coléah meurt à petite feue devant les yeux de tout le monde.
Cet édifice est là juste pour le nom, les peintures elle-même n’existe plus sur la clôture depuis un bon moment, que dire des bancs de touche qu’on sert des cailloux pour que les joueurs réservistes s’açoivent.
Donc ce constat très alarmant suscite tant de questions sur la sécurité et l’adéquation du stade pour recevoir des matchs de haut niveau.
Le stade de Coléah ne répond plus aux attentes de la jeunesse guinéenne à plus forte raison accueillir des rencontres de la Ligue des champions Africaines.
Le stade est diriger par l’ancien ailier gauche du Syli National de Guinée, Fodé Mansaré, qu’on voit rarement.
Le stade de Coléah ne mérite plus d’être à cet état. Un stade qui a formé beaucoup de joueurs pour notre pays . Comme Souleymane Youla, Ismaïl Bangoura, Ousmane Barry ’’Pato”, Ibrahima Yattara ’’Laurent Pokou’’,Fodé Mansaré, Abdoul Salam Sow, Atenace Tinguiano pour ne citer que cela.
Donc, voir ces talents qui ont valablement représenter la République de Guinée, c’est une grande fierté.
Mais la question mérite d’être poser, entre le ministère des sports, la fédération guinéenne de football et le directeur du stade. À qui la faute?
Ibrahima Sory Bangoura
