Il n’est aujourd’hui un secret pour personnes que les rues, les routes et les carrefours de la capitale guinéenne sont transformer en terrain de jeu par les enfants et les jeunes de tout âge des différents quartiers et communes. Ils s’emparent de ces espaces publics. En ce qui concerne les ruelles, surtout dès que la circulation baisse d’intensité, les soi-disant tournois de football se poursuient et ne prennent fin qu’à la tombée de la nuit.
Conséquence, ce sont les passages barrés, la libre circulation bloquée, des accidents provoqués avec des injures à l’endroit des passants. On n’arrêtera jamais d’évoquer ce manque criard de terrain dans la capitale guinéenne.
En Guinée précisément à Conakry la jeunesse ont pris goût de s’épanouir dans la rue. À les écoutés, « nous n’avons pas où jouer, les jeunes sont dans les oubliettes. Nous avons finis d’étudier, pas d’emploi, nous sommes abandonnés à nous même.
Donc, au lieu de fumer la drogue où voler, c’est pourquoi nous jouons régulièrement dans la rue pour être une personne qui peuvent aussi rendre la monnaie à cette grande nation de football qui nous a vu naître.
Regarder, l’exemple est juste devant nous, ça fait combien d’années qu’on ne voit pas nos équipes nationales joués. Parce que les deux terrains qu’on a n’est pas homologuer par la CAF.
Donc, l’État n’a cas bien revoir leur cahier de charge. La République de Guinée ne mérite pas ça. Nous savons tous que le président de la transition, le général Mamadi Doumbouya a des bonnes volontés pour sa jeunesse, mais il y a un petit groupe qui profite.
Un pays qui a presque tout, sauf les ressources humaines. Alors nous demandons toujours aux personnes de bonne volonté, de venir au secours de la jeunesse guinéenne. Le talent est là, mais les infrastructures modernes sont en manque beaucoup’’.
Ibrahima Sory Bangoura