Situé dans la Commune de Ratoma, l’abattoir de Kakimbo est l’un des anciens et plus grand de la capitale, Conakry.
De nos jours, elle représente une image très critique, à cause des tas dimmondices qu’on y trouve tous les jours à l’allentour et des odeurs aussi.
Pour bien connaître des faits sur ce lieu de production de la viande de la capitale Conakry, il suffit tout simplement de faire un tour à l’enlentour de ce site.
Selon, cet individu qui a préféré garder son anonymat, la faute est incombe à certains parmis nous. Parce que, une fois la finition de la construction de l’abattoir moderne de Kagbellen, ont ne sera plus considérée ici. En plus, nous allons forcément payé les taxes. Mais à cet état critique, l’État n’a plus sont regard sur un lieu qui dégage des odeurs nauséabondes.
le président des coopératives des bouchers de l’abattoir Ratoma, Thierno Bella Bah, a rappelé qu’ils occupent cet endroit depuis 30 ans. Selon lui, ils se sont débrouillés sur fonds propre de leur coopérative pour constituer cet abattoir.
« Avant, nous étions à Coléah mais, dès que Ratoma a été érigé en commune, nous nous sommes installés sur ce site. Depuis que nous sommes là, nous collaborons avec le Ministère de l’Agriculture et de l’Elevage (MAE) ensuite la Direction Communale de l’élevage de Ratoma qui nous met en contact avec les vétérinaires. Dans cet abattoir nous travaillons avec les marchands de bétails et les bouchers. C’est-à-dire que nous achetons les bétails qui nous parviennent du Mali et dans certaines régions de l’intérieur du pays. Nous avons des points de vente de bœufs dans toutes les régions du pays. Quand les bétails nous parviennent, nos bouchers sont là pour les égorger dans l’abattoir, ensuite ils envoient la viande dans les différentes boucheries de la ville », a-t-il expliqué.
Pour cette dame, le problème le plus préoccupant c’est l’insalubrité, surtout à cette période des grandes pluies. Il y a la boue et aussi les odeurs partout, il ya un manque total d’hygiène de l’abattoir de Taouyah, le manque d’eau aussi pendant la saison sèche. Et l’on ne peut pas avoir de la viande propre sans l’eau.
Mais pour remédier à cela, il faut l’État guinéenne s’impliquent pour construire un abattoir moderne pour les guinéens. Un abattoir sans la propreté est synonyme des salles maladies.
Donc, il faut que le gouvernement de la transition prenne la responsabilité de nous doter des abattoirs modernes à travers le pays.
Ibrahima Sory Bangoura