Le terrain synthétique de Nongo, situé dans la commune de Ratoma est actuellement dans un état très déplorable. C’est un constat effectué ce samedi 2 novembre 2024 par un reporter.
À travers ses édifices complètement délabré et rongé par le poids de l’âge, le terrain synthétique de Nongo présente de nos jours une image très complexe.
Ceci explique sans doute le retard pris par cette département du ministère des sports et la fédération guinéenne de football qui sont chargés de développement, promouvoir et mettre des infrastructures sportives modernes pour la jeunesse guinéenne.
Le terrain synthétique de Nongo qui a longuement servi la jeunesse guinéenne et étrangers ne répond plus aux commodités de la CAF à plus forte raison de la FIFA. En plus, la négligence de sa tutelle rapprochée, le terrain synthétique de Nongo a maintenant besoin d’une rénovation à la dimension internationale.
Actuellement ce lieu d’attraction pour les jeunes est dans un état très alarmant. Le synthétique ne répond plus aux normes internationales du football moderne.
Selon les remarques faites sur le terrain, les sachets d’eau en plastique jonchent les abords de la pelouse synthétique qui a été mis par l’ancien président de la Fédération Guinéenne de Football, Mamadou Antonio Souaré et sans oublier aussi le desordre à l’intérieur du terrain.
Le terrain synthétique de Nongo meurt à petite feue devant les yeux de tout le monde. Cet édifice est là juste pour le nom, les gazons synthétiques est complètement détruit et les lignes qui prouve que c’est un terrain de football n’existe plus et que dire des bancs de touche pour les réservistes.
Donc ce constat, très déplorable suscite tant de questions sur la sécurité et l’adéquation du terrain synthétique de Nongo pour recevoir des matchs de championnat national ligue1 guinéenne.
Cet espace de jeu ne répond plus aux attentes de la jeunesse guinéenne à plus forte raison accueillir des rencontres du championnat national.
Le terrain synthétique de Nongo ne mérite plus d’être à cet état. Car, c’est un terrain qui a formé beaucoup de joueurs pour notre pays.
Donc, voir ces talents qui ont valablement représenter la République de Guinée dans les différents compétitions, c’est une grande fierté.
Mais la question mérite d’être poser, entre le ministère des sports, la Fédération Guinéenne de Football et le directeur du stade. À qui la faute?
Affaire à suivre!
Ibrahima Sory Bangoura