Le 3 octobre, au moins dix mille personnes ont accueilli Baïdy Aribot, secrétaire exécutif de l’Union des forces républicaines (UFR), à Kaloum.
Le fils du terroir, qui revenait à son fief pour préparer l’arrivée dans la capitale de son leader, Sidya Touré, a été très fortement accueilli.
Après avoir marqué son territoire dans l’après-midi, il a réuni dans la soirée, dans un réceptif hôtelier de la banlieue de Conakry, tous les membres du staff chargé de préparer le meeting marquant le retour de Sidya, après trois semaines passées à arpenter les villes et villages de la Guinée profonde.
Aussitôt après cette rencontre, Baïdy Aribot a fait cap, au cours de la matinée du 4 octobre, sur Forécariah pour y effectuer le travail d’éclaireur préalable à la tenue dans cette localité du meeting de son candidat.
Si l’arrivée de son poulain à Kaloum a drainé autant de monde, qu’en sera-t-il de celle de Sidya Touré prévue ce mercredi 7 octobre ? Le meeting de l’UFR dans la capitale est un moment important, l’occasion d’une démonstration de force de ce parti, pour montrer qu’il garde la haute main sur la Basse-Côte.
Le fils du terroir, qui revenait à son fief pour préparer l’arrivée dans la capitale de son leader, Sidya Touré, a été très fortement accueilli.
Après avoir marqué son territoire dans l’après-midi, il a réuni dans la soirée, dans un réceptif hôtelier de la banlieue de Conakry, tous les membres du staff chargé de préparer le meeting marquant le retour de Sidya, après trois semaines passées à arpenter les villes et villages de la Guinée profonde.
Aussitôt après cette rencontre, Baïdy Aribot a fait cap, au cours de la matinée du 4 octobre, sur Forécariah pour y effectuer le travail d’éclaireur préalable à la tenue dans cette localité du meeting de son candidat.
Si l’arrivée de son poulain à Kaloum a drainé autant de monde, qu’en sera-t-il de celle de Sidya Touré prévue ce mercredi 7 octobre ? Le meeting de l’UFR dans la capitale est un moment important, l’occasion d’une démonstration de force de ce parti, pour montrer qu’il garde la haute main sur la Basse-Côte.
Aboubacar Soumah