Le sport permet à la femme d’être sereine et zéro stress », déclare Aïcha Bangoura handballeuse dans l’équipe junior de la Guinée
Célébrée chaque années, le 8 mars est la journée internationale des droits des femmes qui a pour but de mettre avant la lutte pour des droits des femmes qui restent et demeurent une activité importante afin d’établir le bilan et des avantages. Mais surtout des progrès accomplis pour parvenir à l’égalité des sexes.
C’est dans ce sillage que la demoiselle Aïcha Bangoura, étudiante en licence au Relation Internationale à l’Université Général Lansana Conté de Sonfonia nous livres ces sentiments.
À seulement 17 ans, Aïcha Bangoura est handballeuse et internationale guinéenne. Fille de Daouda et Fatoumata Diallo. Aïcha Bangoura à l’image des autres femmes a pris une allure dans sa carrière d’handballeuse. Véritable guerrière, Aïcha est entrain de monter en puissance avec l’équipe nationale junior de la Guinée.
Né le 1er novembre 2007 à Conakry. Aïcha Bangoura comme tout autre jeune fille, a débuté à jouer le Handball depuis à l’enfance avec ces frères et sœurs, en fin elle finit par aimer.
C’est à Conakry que la petite Aïcha Bangoura a commencé à jouer le Handball.
À l’entendre parler ’’ le sport permet à la femme d’être sereine et zéro stress « . En plus ça éduque et elle rend forte la mentalité.
Donc, le 8 mars , c’est un mois pour la femme où nous devons s’épanouir et être autour de la table, parler le bien-être des femmes guinéennes, Africaines et voire même le monde.
Comme c’est un mois spécialement dédié aux femmes, je lance un appel à l’endroit de toutes les femmes du monde, particulièrement aux braves femmes de la République de Guinée de s’unir et de se donner la main pour être plus forte qu’avant.
En plus, je demande à nos autorités, précisément au général Mamadi Doumbouya de venir toujours au secours des femmes. Car, c’est les femmes qui mettent les chefs d’États, les ministres, les directeurs au monde. Donc, nous méritons plus que le respect.
J’invite à toutes les femmes à se battre corps et âme pour ne pas être à la merci des hommes.
Je suis une internationale guinéenne et je me donne à fond tout les jours aux entraînements pour être forte à tout les moments.
Donc, le mois de mars, c’est un mois spécial pour nous les femmes guinéennes, Africaines et du monde.
Je demande à toutes les femmes surtout les braves femmes de ma fierté nationale, la République de Guinée de se battre contre toutes choses qui peuvent nuire à leur progrès.
Bonne fête à toutes les femmes du monde!
Ibrahima Sory Bangoura