Le secteur primaire dont constitue l’agriculture est un axe développement d’une nation dans la mesure où si il se trouve bien exploiter ainsi de vaste pleine longe le long des côtes de la Guinée qui s’étend sur près de 300 hectares de terres cultivables mais par manque d’initiatives sa valorisation se fait à pas de caméléon les raisons sont nombreuses multiples ainsi la plaine de monchon en est une exemple parmi d’autres car les moyens sont pas à disposition pour une meilleure exploitation .
En effet la plaine monchon est une plaine très riche qui peut produire des récoltes plus que satisfaisante car 1 hectares peut produire plus de 50 sacs de riz après récolte sans même utiliser d’engrais, si on pouvait mieux structuré cette plaine alors imaginons les résultats futurs sur l’Economie de la Guinée
Les agriculteurs de Guinée pratiquent en grande partie une agriculture de subsistance, cultivant de petites parcelles de terre pour nourrir leurs familles. Toutefois, les infrastructures inadaptées et le manque d’accès aux services de vulgarisation agricole, aux technologies et aux intrants sapent la productivité potentielle. La demande alimentaire excède la production domestique, obligeant le pays à se tourner vers les marchés alimentaires internationaux pour combler le manque.
Une monnaie dévaluée associée à la flambée des prix alimentaires à la fin des années 2000 a poussé encore plus de personnes dans la pauvreté et la famine. Le franc guinéen a commencé à se stabiliser en 2012, entraînant une diminution de l’inflation et une baisse des prix alimentaires, même si l’insécurité alimentaire chronique et la malnutrition persistent dans certaines parties du pays, en particulier dans les régions de l’ouest et du sud
Des dissensions politiques en Guinée ont retardé le démarrage des activités du programme qui n’ont pu être mises en route que dans trois districts du pays en 2010. Le programme, en ligne avec la politique nationale pour le développement agricole, vise à augmenter la productivité agricole par le biais de l’éducation communautaire menant à des pratiques améliorées et une gestion saine des ressources.
Comme tout véritable développement ne s’effectue sans l’apport d’une agriculture efficace notamment l’auto suffisance alimentaire qui apporte une stabilité et des ouvertures pour d’autres secteurs qui se trouve pénalisé
Ibrahima Sory Bangoura