2 octobre 1958, 2 octobre 2024. 66 ans depuis qu’on n’est indépendant. La République de Guinée a pris son indépendance et devient le premier pays de l’Afrique française subsaharienne à le faire. De cette date à maintenant, il faut dire que beaucoup de choses ont changé. Du président Ahmed Sékou Touré, le père de l’indépendance au général de corps d’Armée, Mamadi Doumbouya en passant par feu général Lansana Conté, le père du multipartisme en République de Guinée, de Moussa Dadis Camara, Sékouba Konaté et Prof Alpha Condé, l’opposant historique. La République de Guinée a connu un passé douloureux, mais qui a été très forte et qui a prouvé au monde entier que c’est en forgeant qu’on devient forgeron.
À cette date historique, certains guinéens saluent et remercient tout ceux qui ont dignement protéger cette belle Guinée que nous protégeons tous ensemble.
Mohamed Lamine Camara, fonctionnaire de son état : je remercie le tout puissant Allah de me permettre de voir ce jour historique. Le 2 octobre, est un jour historique pour tous les Guinéens. Donc, être parmis les gens pour fêter cette date historique, ces vraiment une fierté. Je demande à tout le monde de regarder l’avenir, l’intérêt de la République de Guinée. Nous devons se donner la main pour conjuguer le même verbe. Car, nous venons de très loin. J’invite le général Mamadi Doumbouya et sont gouvernement d’être très proche avec sont peuple pour bâtir une Guinée unies et constructive.
Salematou Sylla, étudiante Licence en Sciences Politiques: la fête de l’indépendance d’une nation mérite d’être bien fêter par ces filles et fils. Aujourd’hui notre pays, la République de Guinée fête ces 66 ans de souveraineté à l’indépendance. Ce n’est pas de la politique, nous devons être une et soudé pour célébrer cette fête historique. Nous prions pour tous ceux qui ont combattue dignement pour la libération de notre pays, je vais citer ici, Samory Touré, Elhadj Bocar Biro, Zebela Togba Pivi, Dinah Salifou Soumah, Ahmed Sékou Touré, M’Balia Camara, Hadja Mafory Bangoura,Jeanne Martine Cissé, Barry Djaoudou, Elhadj Saïfoulaye Sow, général Lansana Conté pour ne citer que ceux-là, ils ont tous participé pour le développement de la République de Guinée. J’invite les Guinéens à mettre la haine de côté. Mais d’être très serein et calme dans le progrès pour léguer à nos enfants une Guinée de paix et solidaire.
La politique elle est bonne, mais nous voulons une politique qui réuni les personnes ensemble dans le bon sens et qui avance notre pays dans le développement durable.
Amadou Diawara, un citoyen sage à Coléah : je suis de la première république, nous avons beaucoup vu et entendu. Il faut que les Guinéens soient ensemble pour construire cette grande nation. Nous étions unies et solidaire lorsqu’on a dit au général  DeGaulle ’’NON’’.
Donc, depuis cette date à maintenant, nous devons réfléchir beaucoup pour rectifier les mauvaises choses qu’on a eu à faire depuis le 2 octobre 1958 jusqu’à maintenant. Donnons nous la main et conjuguer le même verbe. Car, rien n’est plus beau à avoir où entendre si ce n’est pas la paix. Les Guinéens soyons autour de nos autorités pour construire la Guinée. J’invite les autorités actuelles, de connaître le mal des guinéens et surtout d’être très soucieux de sa population. Car, aujourd’hui ils sont à la tête et demain c’est un autre qui aura la lourde responsabilité de diriger la République de Guinée.
Mohamed Soumah, fonctionnaire à la retraite : je remercie Dieu de voir ce jour historique. Aujourd’hui j’ai mes 63 ans, ce n’est pas donner à n’importe qui, encore je remercie Dieu. La guerre ne nous amène rien sauf le désordre et la pagaille. Il faut que tout le monde s’impliquent pour le développement de la République de Guinée. La République de Guinée a connu beaucoup de crises, passons l’éponge pour mettre fin à cette mal qui nous a mis en retard. Car, la République de Guinée doit bouger et retrouver son nom d’antan, c’est-à-dire la perle de l’Afrique de l’Ouest.
Mariama Camara, ménagère : le 2 octobre ça nous concerne tous, il faut enterrer la hanche de guerre pour que mettre l’intérêt de la République de Guinée. Nous venons de très loin, la Guinée est une famille et ces enfants doivent être très proches et soudé pour l’union et l’entente.
Je demande à nos dirigeants de penser à leur population. Parce Que, quand tu entend un bon président, c’est sa population. Donc, le président de la transition et son gouvernement d’être fidèle et surtout honnête et pourquoi ne pas travailler dans la sincérité pour l’intérêt de la Guinée.
Ibrahima Sory Bangoura